Text/Jacques Lacan/LF12041967.htm

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J.LACAN                      gaogoa

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XIV- La logique du fantasme. 1966-1967

version rue CB

12 Avril 1967                        [#note note]  

    

     (p203->) "Non liget omnibus adire Corinthum " J'ai prononc� � la latine le premier mot pour vous sugg�rer cette traduction que ce n'est pas l'omnibus pour aller � Corinthe. L'adage qui nous a �t� transmis en latin d'une formule grecque, signifie plus je pense, que la remarque qu'� Corinthe les prostitu�es �taient ch�res. Elles �taient ch�res parce qu'elles vous initiaient � quelque chose. Ainsi dirai-je qu'il ne suffit pas de payer le prix, c'est plut�t ce que voulait dire la formule grecque. Il n'est pas ouvert � tous, non plus, de � devenir psychanalyste �. Ainsi en est-il depuis des si�cles pour ce qui est d'�tre g�om�tre. Que seul entre ici, vous savez la suite : celui qui est g�om�tre, cette exigence �tait inscrite au fronton de l'�cole philosophique la plus c�l�bre de l'antiquit�, et elle indique bien ce dont il s'agit : l'introduction � un certain mode de pens�e que nous pouvons pr�ciser d'un pas de plus, � savoir : qu'il s'agit de cat�gories . Cat�gorie, veut dire comme vous le savez, en grec l'�quivalent du mot pr�dicamen en latin, ce qui est le plus radicalement pr�dicable pour d�finir un champ.

    Voil� ce qui emporte avec soi un registre sp�cifi� de d�monstration. C'est pour cela qu'on a entendu dans la suite de l'exigence platonicienne se manifester de fa�on r�it�r�e la pr�tention de d�montrer : more geomitrico , ce qui t�moigne combien le dit mode de d�monstration repr�sentait un id�al. On sait, on souhaite que vous sachiez, je vous l'indique autant que je peux, c'est-�-dire dans les limites d'un champ qui m'est � moi r�serv�, que la m�ta-math�matique vient maintenant sur l'�ventail des r�fections cat�gorielles qui ont scand� historiquement les conqu�tes du g�om�trique. Que cette m�ta-math�matique, dis-je, vient � radicaliser plus encore le statut du d�montrable.

    Comme vous le savez, de plus en plus la g�om�trie s'�loigne des intuitions qui la fondent : spatiale par exemple, pour s'attacher � n'�tre plus qu'une forme sp�cifiable et d'ailleurs diversement �tag�e de d�monstration. Au point qu'au terme la m�ta-math�matique ne s'occupe plus que de l'ordre de cet �tagement, dans l'espoir d'en arriver pour la d�monstration aux exigences les plus radicales. Supposons une science qui ne peut commencer que par ce qui est dans les r�fections ainsi �voqu�es, d'un certain champ, leur point terminal. Inutile pour une telle science d'y balbutier un arpentage d'abord o� s'ordonnerait une premi�re familiarit� au mesurable, voire la transmission des formules les plus grosses d'avenir �mergeant singuli�rement sous l'aspect du secret de calcul. Je veux dire, inutile pour (p204->) elle, � tout le moins trompeur et vain de s'arr�ter � l'�tape babylonienne de la g�om�trie. Ceci parce que tout �talon de mesure rencontr� au d�part emporte la souillure d'un mirage impossible � dissiper. C'est ce que nous avons point� d'abord dans notre enseignement en d�non�ant sans le nommer encore de ce terme tel que nous l'avons �pingl� comme l'imaginaire, les tromperies du narcissisme, quand nous avons �tabli la fonction du stade du miroir.

    De rencontrer un tel obstacle ce fut le lot de beaucoup de sciences en effet, c'est m�me l� que se situe le privil�ge de la g�om�trie. Ici bien s�r, s'offre � nous presque d'embl�e la puret� de la notion de grandeur. Qu'elle ne soit pas ce qu'un vain peuple pense n'a pas ici � nous retenir. Pour la science que nous supposons c'est une tout autre tablature, ce n'est pas seulement que l'�talon de mesure y soit inop�rant, c'est que la conception m�me de l'unit� y boite, tant qu'on n'a pas r�alis� la sorte d'�galit� o� s'institue son �l�ment, c'est-�-dire : l'h�t�rog�n�it� qui s'y cache, qu'on se rappelle l'�quation de la valeur au premier pas du Capital ... de Marx... pour ceux qui l'ignoreraient ! on ne sait jamais, il y a peut-�tre des distraits ! Dans son �crit patent, � cette �quation, c'est la proportion qui r�sulte des prix de deux marchandises : tant de tant = tant de tant, rapport inverse, prix � la quantit� obtenue de marchandise.

    Or il ne s'agit point du patent, mais de ce qu'elle rec�le, de ce que l'�quation retient en elle qui est la diff�rence de nature des valeurs ainsi conjointes la n�cessit� de cette diff�rence. Ce ne peut �tre en effet, la proportion, le degr� d'urgence par exemple, de deux valeurs d'usage qui fondent le prix non plus que celles de deux valeurs d'�change. Dans l'�quation des valeurs l'une intervient comme valeur d'usage et l'autre comme valeur d'�change. On sait qu'on voit se reproduire un pi�ge semblable quand il s'agit de la valeur du travail. L'important c'est qu'il soit d�montr� dans cette critique comme elle s'intitule elle-m�me que constitue le Capital qu'� m�conna�tre ces pi�ges toute d�monstration reste st�rile ou se d�voie. La contribution du marxisme � la science, ce n'est certes pas moi qui ai fait ce travail, c'est de r�v�ler ce latent comme n�cessaire au d�part, au d�part m�me, j'entends, de l'�conomie politique. C'est la m�me chose pour la psychanalyse et cette sorte de latent c'est ce que j'appelle, quant � moi, la structure. Mes r�serves �tant prises du c�t� de tout effort de noyer cette notion ac�r�e des d�parts n�cessaires dans un certain champ qui ne peut se d�finir autrement que comme le champ de noyer ceci dans quelque chose que j'identifie mal sous le nom vague de structuralisme. Il ne faut pas croire que ce latent manque dans la g�om�trie bien s�r. Mais l'histoire prouve que c'est � sa fin maintenant qu'on peut se contenter de s'en apercevoir, parce que les pr�jug�s sur les notions de la grandeur qui proviennent de son maniement dans le r�el n'ont pas fait tort par hasard � son progr�s logique. Encore n'est-ce que maintenant qu'on peut le savoir en constatant que la g�om�trie qui s'est faite n'a plus aucun besoin de la mesure, de la ma�trise, ni m�me de l'espace d'irr�el. Il n'en va pas ainsi je vous l'ai dit pour d'autres sciences et la question pourquoi en est-il qui ne saurait d�marrer sans avoir �labor� ces faits qu'on peut dire derniers comme �tant de structure, peut-�tre en pouvons-nous poser d�s maintenant la question comme pertinente si nous savons la rendre homologue � ces faits.

    (p205->) A la v�rit� nous y sommes pr�ts puisque cette structure, nous l'avons not� autant que pratiqu�, � la rencontrer dans notre exp�rience psychanalytique et que nos remarques si nous les introduisons de quelques vues d'ailleurs triviales, j'enfonce l� des portes ouvertes, sur l'ordre des sciences nos remarques ne sont pas sans viser � de tels r�sultats qu'il faille bien enfin que cet ordre, je dis l'ordre des sciences, s'en accommode. La structure, enseignai-je, depuis que j'enseigne, non depuis que j'�cris, depuis que j'enseigne, la structure c'est que le sujet soit un fait de langage, soit un fait du langage, le sujet ainsi d�sign� est ce � quoi est g�n�ralement attribu�e la fonction de la parole, il se distingue d'introduire un mode d'�tre qui est son �nergie propre, j'entends au sens aristot�licien du terme �nergie, ce mode est l'acte o� il se tait -tacere n'est pas silere - et pourtant ce recours � une fronti�re obscure, �crire comme on l'a fait qu'il est vain de chercher dans mes �crits quelque allusion au silence est une sottise. Quand j'ai inscrit la formule de la pulsion au haut et � droite du graphe comme S File:Poinson.jpg D c'est quand la demande se tait que la pulsion commence. Mais si je n'ai point parl� du silence c'est justement que sileo n'est pas taceo . L'acte de se taire ne lib�re pas le sujet du langage, m�me si l'essence du Sujet dans cet acte culmine, s'il agit l'ombre de sa libert� se taire reste lourd d'une �nigme qui a fait lourd si longtemps la pr�sence du monde animal. Nous n'en avons plus trace que dans la phobie, mais souvenons-nous que longtemps on y put loger des dieux.

    Le silence �ternel de quoi que ce soit, de tout ce que vous savez, ne nous effraie plus qu'� moiti� en raison de l'apparence que donne la science � la conscience commune de se poser comme un savoir qui refuse de d�pendre du langage sans que pour autant cette pr�tendue conscience soit frapp�e de cette corr�lation qu'elle refuse du m�me coup de d�pendre du Sujet. Ce qui a lieu en v�rit�, ce n'est pas que la science se passe du sujet, c'est qu'elle le vide du langage, j'entends l'expulse. C'est qu'elle se cr�e ces formules d'un langage vid� du sujet. Elle part d'une interdiction sur l'effet de sujet du langage. Ceci n'a qu'un r�sultat c'est de d�montrer que le sujet n'est qu'un effet du langage mais c'est un effet de vide. D�s lors le vide le cerne, c'est-�-dire le fait appara�tre comme pure structure de langage, c'est l� le sens de la d�couverte de l'inconscient.

    L'inconscient c'est un moment o� parle � la place du sujet du pur langage, une phrase qui est toujours la question de savoir qui l'a dite, l'inconscient, son statut qu'on peut bien dire scientifique puisqu'il s'origine du fait de la science, c'est que le sujet que c'est le sujet qui, rejet� du symbolique, repara�t dans le r�el y pr�sentifiant ce qui est maintenant fait dans l'histoire de la science j'entends dire accompli, y pr�sentifiant son seul support, le langage lui-m�me. C'est le sens de l'apparition dans la science de la nouvelle linguistique.

    De quoi parle le langage lui-m�me quand il est ainsi d�sarrim� du Sujet, mais par cela le repr�sentant dans son vide structural radicalis� ? Nous le savons en gros. Il parle du sexe, d'une parole dans ce que je vais aborder, l'acte sexuel pour l'interroger, dans l'acte sexuel repr�sente le silence, c'est-�-dire combien (p206->) n�cessairement d'une parole tenace, obstin�e ce silence, si pour cause, � le forcer. Je prendrai le temps quand m�me de dissiper ici dune fa�on que je ne crois pas inutile le premier pr�jug� � se pr�senter, il n'est pas neuf bien s�r, mais l'�clairer d'un jour nouveau a toujours sa port�e : le premier pr�jug� � se pr�senter dans le contexte psychologisant, la diff�rence � la constituer par r�f�rence � l'�nonciation que nous venons d'en faire, la seule vraie de l'inconscient pourrait se formuler de la chute dans notre �nonc� d'un indice essentielle � la structure, non du sexe, comme je l'ai dit, parlerait-il cet inconscient. Ici, la t�te frivole, et dieu sait qu'elle abonde, avale ce d� : l'inconscient parle sexe, il brame, il r�le, il roucoule, il miaule, il est de l'ordre de tous les bruits vocaux de la parole, c'est une aspiration sexuelle. Tel est le sens que suppose au meilleur cas l'usage qui est fait du terme d'instinct de vie dans la rumination psychanalytique. Tout usage erron� du discours sur le sujet a pour effet de le ravaler ce discours m�me au niveau de ce qu'il fantasme � la place du sujet.

    Ce discours psychanalytique dont je parle est lui-m�me r�le, il r�le � appeler la figure d'un �ros qui serait puissance unitive, et encore, dans un impact universel, tenir pour de la m�me essence ce qui retient ensemble les cellules d'un organisme et j'entends de la m�me essence la force suppos�e pousser l'individu ainsi compos� � copuler avec un autre est proprement du domaine du d�lire, en un temps o� lequel la m�iose je pense se distingue suffisamment de la mitose, au moins au microscope ! Je veux dire pour tout ce que suppose les phases anatomiques du m�tabolisme qu'il repr�sente.

    L'id�e de l'�ros comme d'une �me aux fins contraires de celle de Thanatos et agissant par le sexe c'est un discours de midinette au printemps, comme s'exprimait autrefois le regrett� Julien Benda, bien oubli� de nos jours, enfin, il a repr�sent� un temps cette sorte de bretteur qui r�sulte d'une intelligentzia devenue inutile.

    S'il fallait quelque chose pour replacer les �gar�s dans l'axe de l'inconscient structur� comme un langage, ne suffit-il pas de l'�vidence fournie par ces objets qu'on avait jamais encore appr�ci�s comme nous pouvons le faire, le phallus, les diff�rents objets partiels.

    Nous reviendrons sur ce qui r�sulte de leur immixtion dans notre pens�e sur le tour qu'ont prises les fum�es de telle vague philosophie contemporaine plus ou moins qualifi�e d'existentialiste, pour nous ces objets t�moignent que l'inconscient ne parle pas la sexualit�, non pas qu'il la chante, mais qu'� produire ces objets il se trouve, justement ce que j'ai dit, en parler, puisque c'est d'�tre � la sexualit� dans un rapport de m�taphore et de m�tonymie que ces objets se constituent.

    Si fortes, si simples que soient ces v�rit�s, il faut croire qu'elles rencontrent une bien grande aversion puisque c'est � �viter qu'elles restent au (p207->) centre, qu'elles ne puissent �tre d�sormais plus que le pivot de toute articulation du sujet, que s'engendre cette sorte de libert� phallique � laquelle j'ai d�j� fait allusion plus d'une fois dans ces derni�res phrases et que caract�rise le manque de s�rieux.

     Que dire de ce que dit de l'acte sexuel, l'inconscient ? Je pourrais dire, si je voulais faire ici du Barbey d'Aur�villy, qu'un jour imagina-t-il de faire dire � un de ces pr�tres d�moniaques qu'il excellait � feindre : �quel est le secret de l'�glise ? � Le secret de l'�glise vous le savez, bien fait pour effrayer de vieilles dames provinciales, c'est qu'il n'y a pas de purgatoire. Ainsi m'amuserai-je � vous dire ce que peut-�tre, vous ferait quand m�me un certain effet, apr�s tout, ce n'est par pour rien que je dis ce que je vais dire dire de cet �tat : le secret de la psychanalyse, le grand secret de la psychanalyse c'est qu'il n'y a pas d'acte sexuel. Ceci serait soutenable et illustrable. A vous rappeler ce que j'ai appel� l'acte, � savoir le redoublement d'un effet moteur aussi simple que : � je marche � qui fait simplement qu'� subir seulement d'un certain accent il se trouve r�p�t� et ce redoublement prend la fonction signifiante qui le fait pouvoir s'ins�rer dans une certaine cha�ne, le sujet. Y a-t-il dans l'acte sexuel, ce quelque chose o� selon la m�me forme le sujet s'inscrirait comme sexu� instaurant du m�me acte sa conjonction au sujet du sexe qu'on appelle oppos�. Il est bien clair que tout dans l'exp�rience psychanalytique parle l� contre, que rien n'est de cet acte qui t�moigne que ne saurait s'en instituer qu'un discours o� compte ce tiers que j'ai d'ailleurs tout � l'heure suffisamment annonc� par la pr�sence du phallus et des objets partiels et dont il nous faut maintenant articuler la fonction d'une fa�on telle qu'elle nous d�montre quel r�le elle joue cette fonction dans cet acte, fonction toujours glissante, fonction de substitution qui �quivaut presque � une sorte de jonglage et qui, en aucun cas, ne nous permet de poser dans l'acte, j'entends dans l'acte sexuel, l'homme et la femme oppos�s en quelque essence �ternelle. Et pourtant, j'effacerai ce que j'ai dit du grand secret comme  �tant qu'il �n'y a pas d'acte sexuel " en ceci, justement, que ce n'est pas un grand secret, que c'est patent, que l'inconscient ne cesse de le crier � tue-t�te et que c'est bien pour cela que les psychanalystes disent : fermons lui-la bouche ; quand il dit �a, parce que si nous le r�p�tons avec lui on ne viendra plus nous trouver ! Ah quoi bon, s'il n'y a pas d'acte sexuel ? - Alors on met l'accent sur le fait qu'il y a de la sexualit�, en effet, c'est bien parce qu'il y a de la sexualit� qu'il n'y a pas d'acte sexuel. Mais l'inconscient veut peut-�tre dire qu'on le manque, en tous cas �a a bien l'air. Seulement pour que ceci prenne sa port�e il faut bien accentuer d'abord que l'inconscient le dit. Vous vous rappelez l'anecdote du Cur� qui pr�che sur le p�ch� : �Qu'est-ce qu'il a dit ? � - �Il �tait contre ? �.

    L'inconscient qui pr�che lui aussi � sa fa�on sur le sujet de l'acte sexuel il est pas pour, c'est de l� pour concevoir ce dont il s'agit quand il s'agit de l'inconscient qu'il convient de partir. La diff�rence de l'inconscient avec le cur� m�rite quand m�me d'�tre relev�e � ce niveau. C'est que le Cur� dit que le p�ch� est le p�ch�, au lieu que peut-�tre l'inconscient c'est lui qui fait de la sexualit� un p�ch�. Il y a une petite diff�rence !

    (p208->) la question va �tre de savoir comment se propose � nous ceci que le sujet a � se mesurer avec la difficult� d'�tre un sujet sexu�. C'est ce pourquoi j'ai introduit dans mes derniers propos logistiques cette r�f�rence dont je pense j'ai suffisamment soulign� ce qu'elle vise : d'�tablir le statut de l'objet " a ", celle qui s'appelle le nombre d'or en tant qu'il donne proprement sous une forme ais�ment maniable son statut � ce qui est en question, � savoir : l'incommensurable.

    Nous partons de l'id�e pour l'introduire que dans l'acte sexuel, il n'est aucunement question que ce " a " o� nous indiquons ce quelque chose qui est en quelque sorte la substance du sujet. Si vous entendez cette substance au sens o� Aristote la d�signe dans Lucia � savoir : ce qu'on oublie ; c'est que ce qui la sp�cifie est justement ceci : qu'elle ne saurait d'aucune fa�on �tre attribu�e � aucun sujet, le sujet �tant entendu comme hypokaimenon. Cet objet � a � en tant qu'il nous sert de module pour interroger celui qui en est support� n'a pas � chercher son compl�ment � la diade, ce qui lui manque pour faire deux ce qui serait bien d�sirable, c'est que la solution de ce rapport gr�ce � quoi peut s'�tablir le deux, tient tout enti�re dans ce qui va se passer de la r�f�rence de � a � le nombre d'or au Un en tant qu'il engendre ce manque qui s'inscrit d'un simple trait de report, la diff�rence sous une forme : 1 - a  - fort simple calcul que j'ai d�j� inscrit au tableau.

    Je ne le rappelle que pour le mettre � l'or�e de ce que je vais dire sur ce qui est essentiel � articuler pour vous comme je l'ai dit tout � l'heure. d'abord au d�part de notre science, savoir : ce qui introduit n�cessairement quoique paradoxalement � ce noeud sexuel o� se d�robe et nous fuit l'acte qui fait pour l'instant notre interrogation le lien de ce a � en tant qu'ici vous le voyez, il repr�sente, il supporte et repr�sentifie d'abord le sujet lui-m�me, que c'est l� le m�me qui va appara�tre dans l'�change dont nous allons maintenant montrer la formule comme pouvant servir de cet objet que nous touchons dans la dialectique de la cure sous le nom  d'objet partiel, le rapport de ces deux faces de la fonction � a avec cet indice, cette forme de l'objet qui est au principe de la castration. Je ne cl�rerai pas ce cycle aujourd'hui c'est pourquoi je veux l'introduire par deux formules r�pondant � une sorte de probl�me que nous posons � priori, quelle valeur faudrait-il donner � cet objet � a � s'il est bien l� comme devant repr�senter dans la diade, sexuelle la diff�rence, pour qu'il produise les r�sultats entre lesquels est suspendue aujourd'hui notre question. Question qui ne saurait �tre abord�e que par la voie o� je vous m�ne en tant qu'elle est la voie logique. J'entends la voie de la logique, la diade et ses suspens, c'est ce que depuis l'origine si l'on sait en suivre la trace et l'abord, la logique elle-m�me. Je ne suis pas fait pour vous retracer ici l'histoire de la logique, mais qu'il me suffise d'�voquer � l'aurore de l'organum aristot�licien est bien autre chose qu'un simple formalisme si vous savez le sonder. Au premier plan de la logique du pr�dicat s'�difie l'opposition entre les contraires et les contradictoires. Nous avons fait, vous le savez, bien des progr�s depuis, mais ce n'est pas une raison pour ne pas nous int�resser � ce qui fait l'int�r�t et le statut de leur entr�e dans l'histoire. �a n'est d'ailleurs pas, je le dis entre parenth�ses, pour nous interdire quand nous reprenons � la trace ce qu'a �nonc� Aristote, en m�me temps, m�me (p209->) pas en marge, d'introduire ce dont par exemple Lukacevicz l'a compl�t� depuis, je dis cela parce que dans le livre excellent de KNEALE j'ai �t� frapp� d'une protestation qui s'�levait au tournant d'une page, parce que pour dire ce que dit Aristote, M. Lukaceviz par exemple vient � distinguer ce qui tient au principe de contradiction, du principe d'identit� et du principe de bivalence. Le principe d'identit� c'est que A est A, vous savez que ce n'est pas clair que A est A, heureusement que Aristote ne le dit pas, mais qu'on le fasse remarquer a quand m�me un int�r�t. Qu'une chose puisse �tre � la fois A et non A, c'est encore tout autre chose. Quant au principe de bivalence quant � savoir qu'une chose doit �tre vraie ou fausse, c'est encore une troisi�me chose.

    Aristote n'a certainement jamais pens� � toutes ces gentillesses, n'a rien � faire avec la question. C'est ce qui permet de donner son int�r�t � ce dont je repars maintenant � cette grossi�re affaire, des contraires d'abord, en tant que pour nous je veux dire ce qui est indiqu� dans mon enseignement pass�, nous le d�signerons par le pas sans. �a nous servira plus tard.

    Les contraires, c'est �a qui soul�ve toute la question logique de savoir si la proposition particuli�re implique l'existence, �a a toujours �norm�ment choqu� dans Aristote elle l'implique, c'est m�me l�-dessus que tient sa logique.

    Curieux que la proposition universelle ne l'implique pas.

    Je peux dire : tout centaure a six membres - c'est vrai, sinon il n'y a pas de centaure, c'est universel. Si je dis, dans Aristote, il y a des centaures qui en ont perdu un, �a implique qu'il y en ait. On essaie de reconstruire une logique qui soit un peu moins boiteuse vis-�-vis du centaure. Mais ceci ne nous int�resse pas. Simplement, il n'y a pas de m�le sans femelle. Ceci est de l'ordre du r�el. �a n'a rien � faire avec la logique, tout au moins de nos jours. Et puis il y a le contradictoire qui veut dire ceci

    Si m�le alors non m�le

    Si quelque chose est m�le alors �a n'est pas non m�le

    Il s'agit de trouver notre chemin dans ces deux formules distinctes ; la seconde est de l'ordre symbolique, elle est une convention symbolique, qui a un nom justement : le tiers exclu. Ceci doit suffisamment nous faire sentir que ce n'est pas de ce c�t� que nous allons pouvoir nous arranger puisqu'au d�part nous avons suffisamment accentu� la fonction d'une diff�rence comme �tant essentielle au statut de la diade sexuelle, si elle peut �tre fond�e, j'entends subjectivement, nous aurons besoin de ce tiers.

    Essayons, n'essayons pas, ne faisons pas la vaine grimace de pr�tendre tenter ce que nous avons introduit d�j�, � savoir : le statut logique du contraire en (p210->) tant qu'ici l'un et l'autre s'opposent � l'un ou l'autre. L'un et l'autre c'est l'intersection logique m�le et femelle si nous voulons inscrire comme il convient ce l'un et l'autre sous la forme de l'intersection de l'alg�bre de Boole. Cette petite lunule de recouvrement spatial dont je suis constern� de devoir vous pr�senter une fois de plus la figure, car vous voyez bien qu'elle ne vous satisfait pas.

    Ce que vous voudriez ce que de temps en temps l'un soit m�le et l'autre femelle et que de temps en temps ils se marchent sur les pieds. C'est pas de �a qu'il s'agit, il s'agit d'une multiplication logique. L'importance de vous rappeler cette figure Bool�enne c'est de vous rappeler qu'� la diff�rence d'ici qui est ce lieu important du jeu de pile ou face, � quoi j'ai essay� de former ceux qui me suivaient les premi�res ann�es au moins pendant un trimestre, histoire de leur faire entendre ce que c'�tait que le signifiant, � l'oppos� du jeu pile ou face qui s'inscrit tout uniment en une succession de plus ou de moins, le rapport de l'un et de l'autre s'inscrit sous la forme d'une multiplication. J'entends d'une multiplication logique, d'une multiplication bool�enne.

    Quelle valeur pouvons-nous supposer � l'�l�ment de diff�rence pour que le r�sultat soit tout net : la diade ? C'est � la port�e de tout le monde de le savoir, vous avez gard� au moins ceci de teinture de math�matique qu'on vous a enseign� si stupidement pour peu que vous ayiez plus de 30 ans, qui, si vous avez 20 ans vous avez des chances d'en avoir entendu parler.

    Vous �tes tous sur le m�me pied concernant la formule A + B x A -B

voil� la diff�rence, il y en a un qui l'a en plus l'autre en moins, si vous les multipliez �a fait : 1  - B2

    Qu'est-ce qu'il faut pour que A2 - B2 soit tout de m�me �gal � 2, � la dyade, il suffit d'�galer B � Racine.jpg, c'est-�-dire � une fonction num�rique qu'on appelle nombre imaginaire et qui intervient maintenant dans tous les calculs de la fa�on la plus courante pour fonder ce qu'on appelle le nombre complexe.

    A , s'il s'agit de le sp�cifier de 2 fa�ons oppos�es avec + quelque chose et - quelque chose, et qu'il en r�sulte 2, il suffit de l'�galer a i, c'est ainsi que d'habitude on �crit d'une fa�on abr�g�e et d'ailleurs beaucoup plus commode cette fonction dite imaginaire de Racine.jpg.

    (a + b) (a - b) = a2 - b2 

pour que =2 

il faut que : B = Racine.jpg = i

    J'ai introduit ceci parce que �a nous servira dans la suite.

    Que ceci �claire d'un rapprochement ce qui s'offre � nous comme une autre possibilit�, � savoir si nous demandons � l'avance ce qu'il convient (p211->) d'obtenir, ce qui a peut-�tre aussi pour nous, son int�r�t. Il est int�ressant aussi de savoir pourquoi dans l'inconscient concernant l'acte sexuel, justement, ce qui sert, ce qui marque la diff�rence au premier rang de quoi est le sujet lui-m�me, non seulement nous sommes bien forc�s de dire que �a reste � la fin, mais il est exig� pour que ce soit l'acte sexuel que �a reste � la fin, autrement dit :

    ( a + b ) ( a - b ) = a 
pour que ceci �gal a
   
( 1 + i ) ( 1 - i ) = 2
   
( 1 + a ) ( 1a ) = a 
attention que ce a soit = � ce nombre d'or dont je me sers pour introduire , pour vous la fonction de l'objet � a � - Quand a est �gal au nombre d'or, le ( 1 + a ) ( 1 - a ) = a . C'est ici que je suspens pour un temps ce dont j'ai voulu pour vous, proposer la grille logique.

    Venons-en maintenant � consid�rer ce dont il s'agit concernant l'acte sexuel. Ce qui va nous servir � nous en occuper et ce qui justifie le fait que j'ai introduit le fait que j'ai introduit la formule de Marx.

    Marx nous dit quelque part dans les manifestes philosophiques que l'objet de l'homme n'est rien d'autre que son essence prise comme objet. Un objet auquel un sujet se rapporte par essence est n�cessairement rien d'autre que l'essence propre de ce sujet non objectiv�.

    Des gens parmi lesquels quelques personnes qui m'�coutent m'ont bien montr� le c�t� primaire de cette approximation marxiste. Il serait curieux que nous soyions tr�s en avance sur cette formulation. Cet objet dont il s'agit, cette essence propre du sujet n'est objective, est-ce que ce n'est pas nous qui pouvons lui donner sa v�ritable substance.

    Partons de ceci o� nous avons longtemps pris appui, qu'il y a un rapport entre ce qu'�nonce la psychanalyse sur le sujet de la loi fondamentale du sexe, interdiction de 1'inceste pour autant que pour nous elle est un autre reflet d�j� suffisant de la pr�sence de l'�l�ment tiers dans tout acte sexuel en tant qu'il exige pr�sence et fondation du sujet. Aucun acte sexuel, c'est l� l'entr�e dans le monde de la psychanalyse qui porte la trace de ce qu'on appelle la sc�ne traumatique, autrement dit d'un rapport r�f�rentiel fondamental au couple des parents. Comment se pr�sentent les choses � l'autre bout, vous le savez. L�vy Strauss - " Structure �l�mentaires de la parent� " - l'ordre d'�change sur lequel s'institue l'ordre de la parent�, c'est la femme qui en fait les frais, ce sont les femmes qu'on �change, quelle qu'elle soit : patriarcale, matriarcale, ce que la logique de l'inscription impose � l'ethnologue c'est de voir comment voyage les femmes entre les lign�es.

    (p212->) II semble que de l'un � l'autre, il y ait l� quelque b�ance, eh bien c'est ce que nous allons essayer aujourd'hui d'indiquer comment cette b�ance pour nous, s'articule autrement dit, comment dans notre champ elle se comble.

    Nous avons tout � l'heure marqu� que l'origine du d�marquage de la d�mystification �conomique est � voir dans la conjonction de deux valeurs de nature diff�rente. C'est bien ici ce � quoi nous avons � faire et toute la question est celle-ci pour le psychanalyste : de s'apercevoir que ce qui de l'acte sexuel fait probl�me n'est pas social puisque c'est l� que se constitue le principe du social, � savoir : dans la loi d'un �change. L'�change des femmes ou non, ceci ne nous regarde pas encore, car si nous nous apercevons que le probl�me est de l'ordre de la valeur, je dirai que d�j� tout commence � s'�clairer suffisamment de lui donner son nom au principe de ce qui redouble de ce qui d�double en sa structure la valeur au niveau de l'inconscient, il y a ce quelque chose qui tient la place de la valeur d'�change en tant que de sa fausse identification � la valeur d'usage r�sulte la fondation de l'objet marchandise et m�me on peut dire plus qu'il faut le capitalisme pour que cette chose qui l'ant�c�de de beaucoup soit r�v�l�e. De m�me il faut le statut du sujet tel que le forge la science, de ce sujet r�duit � sa fonction d'intervalle pour que nous nous apercevions que ce dont il s'agit de l'�galisation de deux valeurs diff�rentes se tient ici entre valeur d'usage et pourquoi pas, nous verrons �a tout � l'heure, est valeur de jouissance.

    Je souligne, valeur de jouissance joue l� le r�le de la valeur d'�change. Vous devez bien sentir tout de suite que �a a vraiment quelque chose qui concerne le coeur m�me de l'enseignement analytique, cette fonction de valeur de jouissance, et que peut-�tre c'est l� ce qui va nous permettre de formuler de fa�on compl�tement diff�rente ce qu'il en est de la castration, car enfin si quelque chose est accentu�, dans la notion m�me, si confuse soit-elle encore, dans la th�orie de maturation pulsionnelle, c'est bien quand m�me ceci : qu'il n'y a d'acte sexuel, au sens o� je viens de l'articuler, qui ne comporte chose �trange, la castration. Qu'appelle-t-on la castration ? Ce n'est tout de m�me pas comme dans les formules si agr�ablement avanc�es par le petit Hans qu'on d�visse le petit robinet, car il faut bien qu'il reste � sa place ? Ce qui est en cause c'est qu'il ne saurait prendre sa jouissance en lui-m�me. Je suis, � la fin de ma le�on d'aujourd'hui, de telle sorte que j'abr�ge, j'y reviendrai la prochaine fois.

    C'est pour accentuer ceci d'o� je voudrais partir. C'est � savoir : ce que cette �quation de deux valeurs dites d'usage et d'�change a d'essentiel en notre mati�re, supposez l'homme r�duit � ce qu'il faut bien dire, qu'on ne l'a jamais encore r�duit institutionnellement � la fonction d'un �talon dans les animaux domestiques. Autrement dit, servons-nous de l'anglais, o� comme vous le savez on dit : Une she goat pour dire une ch�vre, ce qui veut dire un elle-bouc, appelons comme il convient : un He-man, c'est concevable instrumentalement, s'il y a quelque chose qui donne une id�e claire de la valeur d'usage, c'est de ce qu'on fait quand on fait venir un taureau pour un certain nombre de saillies. Il est singulier que personne (p213->) n'ait imagin� d'inscrire les structures �l�mentaires de la parent� dans cette circulation du tout-puissant phallus. Chose curieuse ! c'est nous qui d�couvrons que cette, valeur phallique, c'est la femme qui la repr�sente, si la jouissance, j'entends la jouissance f�minine porte la marque dite de la castration, il semble que ce soit pour que d'une fa�on que nous appellerons avec Bentam .... ce soit la femme qui devienne ce dont on jouit.

    Pr�tention singuli�re qui nous ouvre toutes les ambigu�t�s propres au mot de jouissance pour autant que dans le d�veloppement juridique qu'il comporte � partir de ce moment, qu'il implique possession. Autrement dit, que voici quelque chose de retourn�, ce n'est plus le sexe de notre taureau, valeur d'usage, qui va servir � cette sorte de circulation qui s'instaure dans l'ordre sexuel, c'est la femme en tant qu'elle est devenue � cette occasion elle-m�me le lieu de transfert de cette valeur soustraite au niveau de la valeur d'usage sous la forme de l'objet de jouissance.

    C'est curieux, parce que �a nous entra�ne, si j'ai introduit pour vous ce he-man ; me voil� d'une fa�on conforme au g�nie de la langue anglaise qui appelle la femme woman, Dieu sait si la litt�rature a fait des gorges chaudes sur ce wo qui n'indique rien de bon, je l'appellerai : sheman, ou encore, en langue fran�aise ce mot qui va pr�ter � quelques gorges chaudes et je suppose � des malentendus l'hommelle. J'introduis ici l'hommelle, je la pr�sente, je la tiens par le petit doigt, elle nous servira beaucoup.

    Toute la litt�rature analytique est l� pour montrer que ce qui s'est articul� de la femme dans l'acte sexuel, n'est que pour autant que la femme joue la fonction d'homelle. Que les femmes ici pr�sentes ne sourcillent pas, car � la v�rit�, c'est pr�cis�ment pour r�server o� elle est, la place de cette Femme, que je fais cette remarque. Peut-�tre que tout ce qui nous est indiqu� concernant la sexualit� f�minine o� joue (conform�ment � l'exp�rience �ternelle) un r�le si �minent la mascarade, � savoir, la fa�on dont elle use d'un �quivalent de l'objet phallique ce qui la fait depuis toujours la porteuse de bijoux. Les bijoux indiscrets dit Diderot quelque part, nous allons peut-�tre savoir enfin les faire parler.

    Il est singulier que de la soustraction quelque part d'une jouissance qui n'est jouissance que pour son caract�re bien maniable, si j'ose d�signer ainsi la puissance p�nienne, nous voyons s'introduire ici, avec ce que Marx et nous-m�mes appelons le f�tiche, � savoir cette valeur d'usage extraite, fig�e, un trou quelque part. Le seul coin d'insertion n�cessaire � toute l'id�ologie sexuelle.

    Cette soustraction de jouissance quelque part voil� le pivot. Mais ne croyez pas que la femme - l� o� elle est l'ali�nation de la th�orie analytique et celle de Freud lui-m�me, qui, de cette th�orie est le p�re assez grand pour s'en �tre aper�u de cette ali�nation dans la question qu'il r�p�tait : que veut la femme  ? ne croyez pas que la femme sur ce sujet, s'en porte plus mal. Je veux dire que sa jouissance � elle elle reste d'en disposer d'une fa�on qui �chappe totalement � cette (p214->) prise id�ologique. Pour faire l'hommelle elle ne manque jamais de ressources, c'est en ceci que la revendication f�ministe ne comporte rien d'original, c'est toujours la m�me mascarade qui continue au go�t du jour. L� o� elle reste inexpugnable comme femme c'est en dehors de ce ... dit de l'acte sexuel.

    C'est � partir de l� que nous devons jauger la difficult� de ce dont il s'agit quant au statut respectif des sexes, l'homme et la femme, dans ce qu'institue l'acte sexuel pour autant que c'est un sujet qui pourrait s'y fonder, les voici au maximum de leur disjonction.

    �a ne l'emp�che pas de circuler l'homme, comme valeur p�nienne, �a circule tr�s bien, mais c'est clandestin quelle que soit la valeur essentielle que �a joue dans 1'insertion sociale, par la main gauche g�n�ralement.

    Si l'homme-il n'est pas reconnu dans le statut de l'acte sexuel au sens de la soci�t� dont il est fondateur, il existe une soci�t� protectrice de l'homme-il c'est ce qu'on appelle : l'homosexuel.

note : bien que relu, si vous d�couvrez des erreurs manifestes dans ce s�minaire, ou si vous souhaitez une pr�cision sur le texte, je vous remercie par avance de m'adresser un [mailto:gaogoa@free.fr �mail]. [#J.LACAN
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] (relu le 14-11-2004)
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