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Alors, cher Rondepierre

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<font size="+2">séminaire [[oral ]] du 19 février 1974</font><p><font size="+2">Jacques [[Lacan]]</font>
<br><font size="+2">1973-74</font>
</p><p><img src="pipe.jpg" alt="ceci n'est pas une pipe" height="100" width="144"></p></center>
<br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Ce Hintikka est un Finlandais, logicien,
c'est pas parce qu'il a fait ce qu'il ne faut pas faire, que comme je viens
de vous le [[dire]], il n'est pas très très très très
utile. Il est justement particulièrement démonstratif.</font>
<br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Si vous lisez ce que je viens d'écrire
les gens s'installent dans la salle...</font></font></blockquote>
&nbsp;&nbsp;&nbsp; <font size="-1">Par contre, puisque j'ai [[encore ]] une petite
minute, par contre, il y a un bon exemple, un bon exemple de ce qu'on peut
faire. C'est un [[autre ]] bouquin. C'est un autre bouquin du même, Jaakko,
ça se dit, paraît-il, Jaakko Hintikka, Jacques, donc qu'il
s'appelle. Jaakko Hintikka a fait un bouquin qui s'appelle <i>[[Time ]] and[[Necessity]],</i>avec comme sous-titre <i>[[Etudes ]] sur la théorie des
modalités d'Aristote.
</i>Ça, c'est pas mal. C'est pas mal
vaut la peine d'être lu parce que, parce que le moins qu'on puisse
dire, c'est que, c'est que ça vous... c'est que ça vous cassera
la tête, et que ce qui est difficile, c'est bien de [[savoir]], chez
un frayeur, comme je l'ai appelé, comme Aristote, c'est bien de
savoir pourquoi, pourquoi... pourquoi il a choisi ces termes-là
<blockquote><font color="#000099"><sup><font size="-2"><a href="#1">1.</a></font></sup><font size="-1">Ça
prouve déjà que ça ne suffit pas de la dire pour y
être, dans le [[vrai]]. Et j'avance tout de suite, n'est-ce pas, à
un des points pivot de ce [... mot inaudible], si je n'er(rrr)re pas</font></font></blockquote>
<font color="#000099"><sup><font size="-2"><a href="#2">2.</a></font></sup><font size="-1">[Ce
qui ont marqué le coup. Bon. Alors</font></font><font size="-1">]
si je n'er(rrr)re pas, et j'ai pas l'air, hein, comment joue le jeu qui
me [[guide ]] ?</font>
<br><font size="-1">&nbsp;&nbsp; Ça fait un verbe, ça, hein...&nbsp;
ait pas de pluriel n'empêche pas qu'il y ait tout de même plusieurs
personnes au singulier. Il y en a trois, justement. C'est à ça
que se reconnaît le trois du [[Réel]], qui comme je vous l'ai
déjà... essayé de vous le faire sentir, il est trois,
hein, et même étroit comme la porte.</font>
<br><font size="-1">&nbsp;&nbsp; Donc, ce que j'ai fait la dernière
fois déplaçait quelque [[chose]]. Quelque chose quoi ?</font>
<br><font size="-1">&nbsp;&nbsp; Ce que je prétends, justement, c'est
que ça ne déplace dé[[place]] pas tout. C'est même là ma[[chance ]] d'être sérieux. Ma chance d'être sérieux,
c'est que dans... le sérieux ne serre pas tout. Il serre de près
la série. Ce que j'ai avancé, c'est ceci, c'est qu'il y a
<br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Et alors, j'arrive là et je
dis quoi... : c'est le savoir du Réel. Je le démontre à
tout bout de [[champ]], c'est le cas de le dire. J'y reconnais le trois. Mais
le trois comme noeud.</font>
<br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Ma chère [[structure]], hein, mastructure à la noix, s'avère [[noeud borroméen]]. Naturellement,
il ne suffit pas de le nommer, de l'appeler comme ça, parce qu'il
ne suffit pas que vous sachiez que ça s'appelle noeud borroméen
que ça ne suffit pas de la dire, pour y être, dans le vrai.
Et j'avance tout de suite, n'est-ce pas, un des points pivots de ce dans
quoi aujourd'hui j'entends avancer, dans ce que je fais ici, comme [[analyste]],
puisque c'est de là que je parle : je ne découvre pas la
vérité, je l'invente. A quoi j'ajoute que c'est ça,
(rires)</font>
<br>&nbsp;&nbsp; <font size="-1">Pour la publier... naturellement ils ne
cessaient de me mordiller les talons au départ, au [[moment ]] oùj'ai sorti les <i>[[Ecrits]]</i>, pour que je la republie, cette thèse,
j'ai dit à ce moment-là que je voulais pas, j'ai changé
d'avis, mais eux maintenant ils ne sont pas pressés. Enfin bref,
pas, hein, c'est évidemment pas de ma faute. Enfin c'est quand même
comme ça que j'ai été mordillé par quelque
chose, par quelque chose qui m'a comme ça, doucement, fait [[glisser]]vers... vers [[Freud]]. C'est quelque chose qui avait d'ores et déjà,
le plus, le plus grand rapport avec la question, enfin, que je formule
aujourd'hui.</font>
<br>&nbsp;&nbsp; <font size="-1">C'est singulier, ça peut paraître
frappant, n'est-ce pas que... que ce soit comme ça, à propos
de la [[psychose]], n'est-ce pas que j'ai, que j'ai glissé vers cette
question du... qu'il a fallu Freud enfin pour que, pour que, je me la pose,
vraiment. C'est : qu'est-ce que c'est que... qu'est-ce que c'est que le
<br>&nbsp;&nbsp; <font size="-1">Le savoir, ça a l'air de découvrir,
de révéler comme on dit, <font face="[[Symbol]]"><i>Alhteia</i>,
</font>ma
bien-[[aimée]]. Je te montre au monde. Toute nue. Je te dévoile.
Le monde n'en peut mais, bien sûr ! Puisque c'est de lui qu'il s'agit.</font>
<br>&nbsp;&nbsp;<font size="-1"> Quand je la montre, c'te vérité-là,
la bien-aimée, c'est lui que je montre. Si j'ai dit que la logique
est la [[science ]] du Réel, ça a bien évidemment un rapport,
un rapport très serré avec ceci, que la science peut être
sans [[conscience]]. Parce que justement, ça ne se dit guère,
hein, que la logique c'est la science du Réel. Que ça ne
se dise guère, c'est quand même un [[signe]], hein, c'est un signe
qu'on ne prend pas ça pour vrai.</font>
<br><font size="-1">&nbsp;&nbsp; Ce qu'il y a de curieux, c'est que, faute
<br><i>&nbsp;&nbsp; </i><font size="-1">Quoi qu'il en soit, science donc
sans conscience, il y a quelqu'un qui a dit, un jour, il s'appelait [[Rabelais]],
comme ça c'était quelqu'un de particulièrement astucieux
et il suffit de lire ce qu'il a écrit pour s'en apercevoir. Écrire
on se fout le doigt dans l'oeil ! Parce que le monde, eh ben, ça
suffit déjà de l'affirmer, c'est une hypothèse qui
emporte tout le [[reste]]. Y compris l'âme. Et ça se voit bien
à lire Aristote, le <i>De l'âme</i>, c'est comme pour Hintikka,
je vous en conseille beaucoup la lecture.</font>
à ce qu'avance la logique épistémique, qui part de
ceci : de l'hypothèse, c'est même là-dessus que repose
le balayage qu'elle constitue, c'est de [[voir ]] ce que ça va donner
si vous écrivez, c'est comme ça qu'ils écrivent, là-dedans,
savoir de a, <i>[[petit a]]</i>, - c'est pas si mal choisi ce <i>petit a</i>,
enfin, c'est un hasard si<b> </b>c'est le même que le mien...- savoir
de
<i>petit a</i>, il faudrait évidemment le commenter, là
il désigne le [[sujet]].</font>
<br><font size="-1">&nbsp;&nbsp; Bien sûr qu'ils ne savent pas que
le sujet, c'est ce dont <i>petit a</i> est la [[cause]], mais enfin c'est un
fait qu'ils l'écrivent comme ça : <i>S </i>de<i> petit </i>a,
<i>alpha</i></font>
<br>&nbsp; <font size="-1">Vous ne pouvez pas imaginer où ça
mène. A des folies, hein ... à des folies ! Ne serait-ce
que celle-ci, enfin, en faux, en faux duquel s'inscrit le savoir [[inconscient]],qu'il est [[impossible ]] de savoir quoi que ce soit, supposé vrai comme
tel, sans le savoir. Je veux dire savoir qu'on sait.</font>
<br><font size="-1">&nbsp;&nbsp; D'où il résulte qu'il est
obtenir, mais enfin il y a un mathématicien très sympathique,
qui se rompt à Hintikka, et qui en effet fait la très jolie
démonstration, on m'en a communiqué les [[notes]], que le savoir
qui se supporterait de ce qu'on ne sache pas qu'on sait est strictement
inconsistant, enfin impossible à énoncer dans la logique
Un savoir comme un autre, et là je voudrais vous ramener, comme
ça, un peu les pieds sur terre, c'est simplement vous rappeler,
enfin, ce que c'est que le savoir inconscient. Ça méritemé[[rite]]
pleinement le titre de savoir, hein !</font>
<br><font size="-1">&nbsp;&nbsp; Et son rapport à la vérité,
à ce moment-là, on n'avait pas encore trouvé le terme
d'<i>[[analysant]], </i>quand une de ses patientes lui apporte un rêve
qui ment délibérément.</font>
<br><font size="-1">&nbsp;&nbsp; C'est que c'est là qu'est la faille.</font>
<br><font size="-1">&nbsp;&nbsp; Il y a quelque chose, dans Freud, qui prêtait
à cette confusion qu'on a faite, en fin de compte, en traduisant
<i>[[Trieb]]
</i>par
<i>[[instinct]]</i>.
Chacun sait que l'instinct c'est... c'est un savoir, comme ça, supposé
naturel.</font>
<br><font size="-1">&nbsp;&nbsp; Mais il y a quelque chose quand même
qui fait un pli, pour ce qui est de Freud, c'est l'instinct de [[mort]]. Hein.</font>
<br><font size="-1">&nbsp;&nbsp; Bien sûr, moi j'ai fait un petit pas
lui se rend bien compte. Faut que vous lisiez pour ça le fameux
<i>Au-del</i>à,
oui, <i>Au-delà du principe du [[plaisir]]</i>, comme par hasard.</font>
<br>&nbsp;&nbsp; <font size="-1">Dans c't <i>Au-delà
</i>enfin, il,
un certain seuil, le moins de tension possible, c'est ça qui plaît
à la vie, qu'il dit. Seulement, il s'aperçoit dans la pratique
que ça ne marche pas. Alors il pense que ça [[passe ]] plus bas
que le seuil. A savoir que cette vie qui maintient la tension à
un certain seuil, elle se met tout d'un coup à lâcher, et
<br><font size="-1">&nbsp;&nbsp; La vie c'est, c'est quelque chose qui s'est
levé un jour Dieu sait pourquoi, c'est le cas de le dire, et puis
qui ne [[demande ]] qu'à faire retour, comme tout le reste. Il confond
le monde inanimé avec la mort. Il est inanimé, ça
veut dire qu'il est supposé ne rien savoir. Ça ne veut rien
que la vie quelquefois va à la mort, il conjoint, il y conjoint
ce qu'il est quand même difficile de, d'éliminer du sexe,
c'est la [[jouissance]].</font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp; Et que, faisant le [[glissement ]] qu'il n'aurait
pas fait s'il avait tenu ferme dans ses mains le noeud borroméen,
il désigne de [[masochisme ]] la prétendue conjonction de cette
jouissance, jouissance sexuelle, et de la mort. C'est un collapsus. Ouais.</font>
<br>&nbsp;&nbsp; <font size="-1">S'il y a un endroit où la clinique,
manifesté par le fait que quand même hein, on n'y met que
le petit bout du petit doigt, hein, on se laisse pas happer comme ça
dans la [[machine]]. Bon.</font>
<br>&nbsp; <font size="-1">Alors c'est ce qui, quand même, permet d'envisager
qu'il ne sait pas ! Quelle drôle d'histoire...</font>
<br><font size="-1">&nbsp;&nbsp; Mais nous savons tous parce que tous, nous
inventons un truc pour combler le [[trou ]] dans le Réel.</font>
<br><font size="-1">&nbsp;&nbsp; Là où il n'y a pas de rapport
sexuel, ça fait <i><b>troumatisme</b> ! (rires)</i></font>
<b><i>un</i></b>
connote fort bien la jouissance, et que <i>zéro</i>, ça veut
dire <i>y en a pas</i>, <i>ce qui [[manque]]</i>, et que si zéro et
un ça fait deux, c'est pas ça qui rend moins hypothétique
la conjonction de la jouissance d'un côté avec la jouissance
faire, un monde totalement énigmatique, dès qu’on essaie
d'y faire entrer ce quelque chose qui serait modelé sur la logique,
et dont se fonderait que dans l'espèce dite humaine on est ou [[homme]]ou [[femme]].</font>
<br>&nbsp;&nbsp; <font size="-1">C'est très spécialement ce
contre quoi s'élève l'expérience, et je n'ai pas [[besoin]]
d'aller loin, quelqu'un m’a rapporté, pas plus tard qu'il y a quelques
heures, sa rencontre avec un chauffeur de taxi, ça court les rues,
l'expérience ne lui suffit pas parce qu'il faut qu'il s'accroche
un peu partout, à la science, hein, du moment qu'il n'y a rien,
il n'y a rien qui ressemble plus à un [[corps ]] masculin qu'un corps
féminin, si on sait regarder à un certain niveau, au niveau
des tissus, hein. Ça n’empêche pas qu'un oeuf, c'est pas un
dans la mesure où c'te exception porte conséquence... pour
tous ceux qui croient qu'ils l'ont, qu'ils l'ont quoi ? Ce que nous n'osons
même pas appeler la queue, nous appelons ça le [[phallus ]] et
c’est ce qui reste à déterminer.</font>
<br>&nbsp;&nbsp; <font size="-1">Alors que de l'autre côté,
<font face="Arial,Helvetica">x</font></i></b></font><sup><font size="-2"><a href="#4">4</a></font></sup><font size="-1">,
c'est-à-dire que ce n'est que pour tout autre qu'est niée
la [[fonction ]] <font face="Symbol">F</font>(x), que la [[négation]], disons
pour illustrer, est laissée, je ne vais quand même pas dire
à Dieu, parce que ça nous emmerde, cette histoire, ce collage
<br><font size="-1">&nbsp;&nbsp; En d'autres termes, qu'à ma petite
[[barre ]] que je mets sur le A inversé, signe du quantificateur [[universel]]
</font><sup><font size="-2"><a href="#4">4</a></font></sup><font size="-1">,
la petite barre par quoi s'inscrit le pas-tout, ce qu’il faudrait substituer,
c'est le signe du dénombrable, à savoir <i><b>alpha</b> zéro.</i></font><b><sup><font size="-2"><a href="#5">5</a></font></sup></b>
<center><img src="ndup8f.jpg" alt="nondupes errent 8 f, [[lettre ]] aleph zéro" border="0" height="26" width="24"><font size="-1">0</font>
(<font size="-1">aleph zéro)</font></center>
&nbsp;&nbsp; <font size="-1">Ce qui s'oppose à l'<i>un du tout</i>
ce qui fraye, n'est rien d'autre que ce dire, ce dire qui s'engouffre dans
ce qu’il en est du trou par où manque au Réel ce qui pourrait
s’inscrire du [[rapport sexuel]].</font>
<p>&nbsp;&nbsp; <font size="-1">Alors, alors. Qu'est-ce qu'il en est du savoir
?</font>
réflexion sur l'écrit, sans ce qui fait que le dire ça
vient à s'écrire, il n'y a pas moyen que je vous fasse sentir
la [[dimension ]] dont subsiste le savoir inconscient.</font>
<br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Et ce qu'il faut que vous fassiez
comme pas supplémentaire, c'est de vous apercevoir que si ce que
je vous rends sensible en vous disant que [[l'inconscient ]] ça ne découvre
rien, puisqu'il n'y a rien à découvrir...</font>
<br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Il n'y a rien à découvrir
<br><font size="-1">&nbsp;&nbsp; Il est vrai que... si c'est vrai que ça
ne se situe que là où je vous le dis, c'est-à-dire
là où la [[contradiction ]] n'est en fin de compte qu'artifice,
artifice de suppléance, mais qui n'en reste pas pour ça moins
vrai, le vrai jouant là le rôle de quelque chose dont on part
qu'entre le "ne cesse pas de s'écrire : p" et le "ne cesse pas de
s'écrire : non-p", nous sommes là dans l'artefact dont témoigne
justement et qui témoigne en même [[temps ]] de cette béanceconcernant la vérité et que l'[[ordre ]] du possible est comme
l'indique Aristote, connecté au nécessaire. Ce qui cesse
de s'écrire, c'est : <i>p</i> <b><i>ou</i></b> <i>non p</i>.</font>
rien à en tirer. Il n'y a rien à en tirer et Aristote lui-même
en témoigne. Il y témoigne de sa confusion à tout
instant entre le possible et le [[contingent]].</font>
<br>&nbsp;&nbsp; <font size="-1">Ce qu'écrit ici mon V vers le bas,
car après tout, ce qui cesse de s'écrire peut aussi bien
du truc. Il peut arriver que j'aime une femme comme un chacun d'entre vous,
c'est ces sortes d'aventures dans lesquelles vous pouvez glisser, ça
ne donne pourtant aucune assurance concernant l'[[identification ]] sexuelle
de la personne que j'aime pas plus que de la mienne.</font>
<br>&nbsp;&nbsp; <font size="-1">Seulement il y a quelque chose qui, entre
de l'un et de l'autre, de l'inventer.</font>
</p><p>
</p><hr size="3" width="80%"><a [[name]]="1"></a><font size="-1">1. Cette phrase (bandeson à 7'48) ne [[figure ]] pas sur la version papier CB et se trouve
répétée un peu plus loin (à 15'10) probablement
à sa juste place : <i><font color="#000099">Ça prouve déjà
<br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; - <b>Nussbaum</b> : seule occurrence
ce 19/02/74.</font>
<br><font size="-1">D'après <i>l'[[Index ]] des noms propres et titresd'ouvrages dans l'ensemble des séminaires de [[Jacques Lacan]]</i> (E.P.E.L.
février 1998).</font>
<br><a name="4"></a><font size="-1">4. le quantificateur universel&nbsp;
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