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Bon, eh bien, j'espérais

3,784 bytes added, 23:50, 17 May 2006
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<font size="+2">séminaire oral du 12 février 1974</font>
</p><p><font size="+2">Jacques Lacan</font>
<br><font size="+2">1973-74</font></p></center>
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<center><img src="pipe.jpg" alt="ceci n'est pas une pipe" height="100" width="144"></center><a></a>
</blockquote>
<font size="+2">séminaire oral du 15 janvier 1974</font></ul></ul> </ulblockquote></ul></ul></ul> <center><font size="+2">Jacques Lacan</font><br><font size="+2">1973-74</font><p><img src="pipe.jpg" alt="ceci n'est pas une pipe" height="100" width="144"></p><a></a><a></a></center> <p><font size="-1">En rapport avec les documents sonores disponibles en archives
au groupe
<b><i><a href="http://www.lutecium.fr/Accueil.html">Lutecium</a></i></b>,
le texte proposé sur cette page est une transcription intégraleécriteintégrale de la séance, qui a été relue à l'aide de la bandeson, . (2002février 2003).</font></p><center><phr size="3" width="80%"><font size="+1">transcription de la version sonore originale</font></p></center>
<pdir><font face="Arial"><font size="-1">&nbsp;&nbsp; Voilà vous m'avez vu la dernièrefois un petit peu dépassé par votre nombreBon, comme il esteh bien j’espérais...ça me laisse lj'espoir ai appris sur le tard qu'il se réduise, alors je continuey avait les vacances de...</font>dites de Mardi</p><p><font size="-1">&nbsp;&nbsp; L'inconvénient de ce nombregras, c'estjustement parce quec’est pas le Mardi gras, alors j'y pensais tout à lai maintenuma ... j'heure, je suisai maintenu ma... ma, je suis amenéne sais pas quoi, mon séminaire,enfinn'est-ce pas, à chaque fois, à… à pencher, enfin, vers cecije l'ai maintenu aujourd'hui parce que j’espéraisque si grâce à ça je vous parle, ça ne pourrais peut -être me promenerau milieu de vous parce que pour la premièrevous seriez un peu moins nombreux, et en sommefoisparler un peu avec les gens qui sont censés m’écouter. C'est-à-dire que c'est une notion Vousêtes un peu moins nombreux, c’est vrai, ce qui d'ordre. Cette notion ailleurs me permetde le faire, mais enfin, je regrette de ne pas avoir eu cette occasionde m’exprimer d'ordreévidemment me gêne une façon un peu plus familière et c'est d'où j'essaie de sortirdirecte.en vous montrant autre chose, c'est à savoir qu'il y a la nodalitéVoilà.</font></pfont><pbr><font face="Arial"><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Pour le dire, n'est-ce pas, la questionest de savoir ce que le savoir inconscient, là, forcément,je vois bien quedessus... là-dessus je vois bie<a></a><a></a>n vous annonce que j'enchaîne, à savoiril vient de sortir une espèceque, de plaquette comme ça (le savoir inconscientdocteur Lacan lance la plaquette dansla salle), que je le pose. Je le pose comme ce qui travaille.Et ce qui travaille peut travaillervous envoie, il n'y a de prise quelconque du travailun encart dedans,l’encart est aussiil n'y a intéressant que la plaquette, de prise quelconque du travail sorte que dans un discours. Il sça va aussi biensi c'agitde fonder ce est pas les mêmes qui travaille dans le discours analytiquel'ont reçu. Voilà.</font>En principe<br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; S'il n'y avait pas de lien socialen principe,ça doit passer à la télévisionet de lien social en tant qu- donnez l'encart à quelqu'il est fondé par un discours, le travailserait insaisissabled'autre... voilà. Disons, avec IC'ironie est desquestions que ça comporteJacques-Alain Miller a eu la bonté de me poser, quedansdans la nature, ça ne travaille pasl'espoir de faire ... Télévision. Alors, il semble bien, enfinNaturellement,naturellementque, c'est dun espoir tout à fait abusif : il m’a posé les questionsqu'ailleurs ce qui la fonde, la nature, il est capable de me poser à partir de l'idée que nousqu'il sefait de la télévision. Il m'a posé des questions kantiennesen avonsparticulier, comme si tout le monde était kantien, mais jusqu'àun certain point c'est vrai, tout le lieumonde est kantien, cde sorte que lesquestions qu'il m'a posées m'ont donné simplement occasionde... occasion de répondre au niveau présumé télévisionpar Jacques-Alain Miller. Le résultat m'est le lieu où ça ne travaillea paru quand mêmepasdigne d'être retenu puisque je l'ai fait publier. Voilà.</font></font><br><font face="Arial"><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Le savoirAlors maintenant,je vais vous parler un peu, le savoir en tant quaujourd'inconscienthui,en essayant de rester dans laen tant qunote de ce que j'en nous "ça travaille", semble donc impliquer une suppositionespérais.CCe que j'est une supposition, me direz-espérais vousdire, pour laquelle nous n'avons pas besoinc’étaitde nous forcer, puisqu'en somme, c'est nous-même était quelque chose, disons, en gros, comme ça,dont la visée, enfin, vous en ferez le sujet, I'<i><font face="Symbol">upokeimenon</font></i>titre que vous voudrez,donttout çala visée était de vous dire, ça veut vous dire exactement la même chosedifférence, àsavoir quc'on "suppose" que quelque chose existeest ça qui me parait, c'est ça qui s'appelle, me parait importantdans ce que j'aidésigné comme l'être parlant, ce qui est un pléonasmeessaie de vous apporter cette année,de vous direparce la différence qu'il n'y a d'être que de parler, s'il n'y avait pas entre le vrai et le verbeêtre, il n'y aurait pas d'être du toutRéel.</font></font>
<br><font face="Arial"><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; NéanmoinsComme vous vousen êtes peut-être aperçus, néanmoinsn'est-ce pas,je me suisnousavancé cette année à... nous savons bien que le mot avec vous, je me suis avancécette année avec, comme dans <i>d'existerLa paix chez soi</i> a pris un certainde Courteline,poids. Un poids en particulier par n’est-ce pas, "le quanteur, truc d'un côté et le quanteur machin de ll’autre",c’est tout ce qu'existence.elle a réussi à obtenir, la petite bonneLe quanteur de l'existencefemme, en réalitéachetant je ne sais quel lustre, enfin qui justement se met endeux morceaux... enfin, a tout contrairement à faitelle, mes trois morceaux,déplacé à savoir les trois, les trois ronds consistants dont s'ajuste le sens nœud borroméen, c'est ce que je tiens dans la main pour vous parlerde ce mot exque les non-sister, et si même jepeux l'écrire comme je l'ai écrit dupes errent.<i/font>ex, tiret, sister</ifont>,<ibr><font face="Arial">ex<font size="-sister</i1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Ca n'a pas l'aircd'est justement là en quoiavoir un rapport direct, immédiat tout au moins, ça nesaute pas aux yeux.Mais vous savez peut-être qu'un de ces .. en quoi se... en quoi se marque unde ces trois ronds, je le dénomme, je le dénomme du Réel,les deux autres étant l'originalitéImaginaire et le Symbolique, et que c'estautour de ça que j'essaie de ce quanteurvous faire sentir quelque chose.</font></font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Seulement<font face="Arial">Vous faire sentirceci, voilà. Ld'originaliténe fait abord, que déplacer lj'ordreai déjà proféré, à savoir que ce maisqui exne vous a pas forcément sauté aux yeux, n'est-sistece pas,c'est cela qui serait originaireque, c'est que justement je les prends sous seulement cet angle qu'ilssont trois, qu'ils sont trois et également consistants. C'est à partir de lunepremière façon d'aborder, d'ex-sistenceque nous nous trouvons ré-interroger aborder ce qu'il en estdu Réel.Il est bien certain que le Réel, c'est ce qui les fait trois, sansque pour autant ce qui les fait trois soit le troisième. S'ils serajoutent, ce qun'il enest que pour faire trois. Et justement ils ne se rajoutentpas. Parce que chacun des trois se rajoute tout autant sans pour autant,sans pour autant être le troisième. Il n'est de la suppositionlà queparce que les deux autres ne font pas nœud sans trois, si je puis m'exprimerainsi.</font></font><br><font face="Arial"><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Simple déplacement, en somme.Et c'est ce que jje voudrais vous dire, c'essaie, ce est que la logique ne peut se définir que jd'essaie de, ce que jêtre la science du Réel. L'essaie de faire cetteannée, hein, avec mes non-dupesembêtant, c'est de voir de quoi en sommequ’elleil faut être dupe pour ne parle et qu'elle ne part que du vrai.</font></font><br><font size="-1"><font face="Arial">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Elle n'a pas tout de suite commencé comme ça tienne. Il y avait peut-être, que ça tiennecommetout de même dans une consistancel’ensemble, enfin, vous le savez, il y avait unnommé Aristote qui a frayé la question.Evidemment, le motde "vrai" </font><font face="Symbol">alethes</font><font face="Arial">
<br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Et ctraîne pas mal dans son machin qu'est en quoi jil a appelé l'introduis ce ternaireOrganon etou plus exactement je m'aperçois qu'à partirdont on a fait depuis, la logique. Lui frayait, à êtreil se débrouillaitparti de ce ternairecomme il pouvait, du Symbolique, de et l'Imaginaire et du Réelennui,je pose une questionactuellement, ou plus exactementdans notre affaire avec l'Organon, comme pour toute question, pourtoute question c'est de que ça ne peut pas paraître sans que la réponse qu'elle est partie... moitiéde la réponsequipage soit tenue par des, à maintenirdisons, à maintenir comme distinct, le Réelcommentaires de l'Organon,qui nenous fait nous poser la question : où se situe sont pas du tout à proprement parler ce savoir, ce savoirinconscient que... dont nous sommes travaillés dans le discoursanalytique. Il est bien certain que cqu'est le discours qui nous fait colleron peut appeler commentaires,le discours analytique qui nous fait coller à ce savoir mais une certaine façon d'une façonqui norganifier sur I'a pas de précédentOrganon, nc'a pas est-à-direde précédentdans l'Histoirele rendre comestible.</font></pfont><pbr><font face="Arial"><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Pourquoi Ça commenceà un certain Alexandre, à un autre qui s'appelle Simplicius,et puis plus tard à un nommé Pacius, et puis après tout ne pourrions-nouspas considérer ce discours lui-même comme contingent puisqu'ilpart qu’on veut, un Pierre d'Espagne, un dire, saint Thomas d'un dire qui fait événementAquin, celui que j'essaieenfinde... que j'essaie de prolonger devant vousgrâce à ça, et la question de la contingencechose a été, enfin complètementde ce diredéviée, c'est bien autour de celle-là au point que nous tournons. Sice dire n'est pas du tout facile, parceque contingentmalgré tout on a un espèce, comme ça, et aussi bien cde frottis,on s'est de cela qu'il faut rendrefrottés à ces divers auteurs, et on les entend,compteon entend Aristote, où se situe le Réel ? Est-ce que le Réel n'estmalgré tout, à travers, à traversjamais que supposé ?eux.</font></font></pbr><pfont face="Arial"><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Dans ce noeudCe serait biensi, si quelqu'un, si quelqu'un arrivait à faire l'effort, en sommede lire, de lire par exemple, ce noeud rien que je profèrececi,qui est le second volume dedans cet <i>Organon</i>, à lire ce noeudqu'on appelle, ce noeud fait du Symbolique et de lqu'on appelle, c'Imaginaire en tant queestparce qu'on l’a intitulé comme ça, c'est seulement quelque chose aussi un titre qui avecest venu après coup, on appelle ça <i>Les Premiers Analytiques</i>,arriver à le lire, avec… fait troisnon pas bien sûr de première impression, parce que quelqu'un qui les nouele lirait de première impression, simplement,n'y comprendrait pas plus que ce que, dans l'ensemble,enfin vous comprenezà ce que je raconte, c'est du Réel -à-dire pas lourd...&nbsp; la choseabsolument qu'il sfaudrait qu'agit.</font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Quun jour quelqu'ils soient troisun arrive à faire, c'est justement àconnaître assez bien la différence de cecela que tient dit Aristote avec ce que nous ont transmis, enfin, ceux qui ont ressasséle truc, à en voir assez bien la différence pour voir combienAristote frayait et comment il frayait et pourquoi pas, même lesendroits où il glissait, où il s'est tordu le Réelpied, ... c'estun monde ! Ouais...</font></font><br><font face="Arial"><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Pourquoi le Réel Il est-il troistout à? C'est une question fait clair que je fonde, que je justifie de ceci : qu'il n'ya en rajoute pas de rapport sexuel, là. En d'autres termes, Ou plutôt que ce que je le préciserajoute, ce serait destiné à, à proposer,enfinque je le précise de cecitout au moins une tâche, qui puisse sà savoir jusqu'écrireà quel point, moyennantquoiet dans Aristote, moyennant quoi ce qui s'écritme semble-t-il, on peut saisir, à quel point c'est que, par exemple, ilnun frayage ; et un frayage qui ne s'existe pas de "f", de "f" tel éclaire qu'entre x et y qui, ici, signifient lefondement de tels des êtres parlants, à se choisir comme partir dela partie mâle ou femelle, ceci, cette fonction qui ferait le rapport,cette fonction de lque j'homme par rapport à la femme, cette fonctionde la femme par rapport ai énoncé juste à l'hommeinstant : que la logique, il n'en existe pas qui puissesc'écrireest proprement la science du Réel.</font></p><center><img src="ndup6a.jpg" alt="Non dupes 6 a : Il n'existe pas une fonction f telle que f (x,y)" height="43" width="165"></centerfont>
<pbr><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; C'est ça la chose<font face="Arial">Dans Aristote, la choseque je produis devant vous, con n'est ce que, quelque part, car je me répète,comme tout pas tellement encombré par le monde, il n'y a que vous pour vrai. Il ne parle pas vous en apercevoirde vrai àpropos du prédicat. Il ânonne bien sûr,et àcause de ça on s’est cru tout à fait obligé de fairecpareil, on parle de l'est ça que jhomme, de l'ai déjà énoncé sous lenom animal, de <i>Chose freudienne</i>... du vivant, à l'occasion, ça y est en long et en largeencore, je dis là des choses qui ont tout de suite un vague sens, etbien sûrça s'emboîte : l'homme, cl'est animal, le vivant ; tout à fait passé inaperçu,animalpour une simple raisonest vivant, c'tout homme est que nous en restons dans cet Imaginaireanimal, moyennant quoi tout homme sera vivant...</font></font><br><font face="Arial"><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Dans cet Imaginaire qui Il est justementtout àfait clair dès ce que met en question départ, comme la moindre expérience du discours analytique,csuite d'est qu'il nailleurs l'y a rien de plus flou que l'appartenance, que l'appartenancebienà un de ces deux côtés : celui que je désignede x et l'autre de ymontré, justement en ceci que du même coup il fautque je marque qu'il n'y a nulle fonction qui les relietout ça ne veut rien dire.</font></font></pbr><pfont face="Arial"><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Alors, il sEn d'agit de savoir commentautres termes,tout de mêmeque le vrai, ça fonctionnedans l'affaire, est tout à savoir que, tout fait hors demêmesaison, ça baise là-dedansdéplacé.</font></pfont><pbr><font face="Arial"><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; En énonçant celaEt ce qui le rendtangible, cecice qui le rend tangible,c'est que c'est... ces cases, n'est-cepas, ces... qu'il remplit comme il faut quand même peut avec ces par exemple ces troismots que je décolle viens de quelque chose qui dire : homme, animal, et vivant, n'est-ce pas, ilunepeut aussi bien mettre n'importe quoi, n'est-ce pas, le cygne, le noir... une suppositionenfin n'importe quoi d'autre, une supposition que, il y ait un sujetle blanc... le blanc traîne partout, mâleou femelle.</font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Con ne sait pas qu'en faire, il est une supposition rendu manifeste dans ce que lj'expérienceai appelérend très évidemment intenableson frayage, et qui implique que ce queces termes, tout son effort est justement de pouvoir s'enjpasser, c'est-à-dire qu'avanceil les vide de sens, que et il les vide de senspar ce que jmoyen qu'avance en énoncé il les remplace par mon énonciationdes lettres à savoir alpha,bêta, gamma, par l'énonciation dont exemple, au lieu de mes trois premiers termes, làque je ne suis le sujet que pour autant que vous ai extraits, qui sont dansle discours analytique je travaille moiAristote ... il dit, n'est-mêmece pas, ça ne commence à prendre forme qu'à partir du momentil faut énoncera que je netout b...&nbsp; tout <i>a</i> est <i>b</i>,mette pas de sujet sous cet x et sous cet ytout gamma est <i>b</i>... Il faut donc que l'énoncénon,et rien que déjà écrire ceci au tableautout <i>b</i> est gamma, il faut doncmoyennant quoique mon énoncé n'implique pas de sujettout <i>a</i> sera gamma.</font></font>
<br><font face="Arial"><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; S'il y a quelque choseEn d’autres termes, s'il y a quelqueprocédera de la façon à pouvoir qualifier deuxchose de ces termes, ceux qui se trouve là écritfont le joint, de moyens, cmoyennant quoi il pourraétablir une relation entre les deux extrêmes. C’est en celaqu'est que de sujetau départ, dès le départ, se touche qu'il nne s'estagitquestion pas du vrai. Car peu importe que dans la fonctiontel animal soit blanc ou pas, et justement que ce que jchacun saitqu'écrisil y a des cygnes noirs, des cygnes,c, y, g, n, e,&nbsp; l'importantest que sous cette fonction, justement de ce ququelque chose soit articulé grâce à quoi s'elle soit niée,introduitil n'y a nulle existencecomme tel le Réel.</font></font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Le <font face="Arial"il >Ce n'existe est pas" veut dire çapour rienque, dans le syllogisme,il n'y a pas de fonctiontrois termes : les deux extrêmeset le moyen.</font></font><br><font face="Arial"><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Ce dont il sC'agit, ce dont il sest qu'agiten fin de compte,c'est de démontrer, c'est je dis en fin de démontrer compte parce que cette fonction,si elle n'a pas d'existence, ce n'est pas seulement affaire contingentequ'un premier essai,tout secpasse comme s'est affaire d'impossibleil avait quelque chose comme un pressentiment du nœud borroméen.</font></font><br><font face="Arial"><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; C’est àsavoir que tout de suite il touche du doigt à partir du moment oùil aborde le Réel, qu'il faut qu'il y en ait trois. Evidemment cestrois, il les manie tout de travers, c'est à savoir qu'il s'imaginequ'ils tiennent ensemble deux par deux. C'est affaire dune erreur. Il s'imaginequ'impossible ils tiennent ensemble deux par deux, et pourmême jusqu'à unle démontrercertain point, ce non peut traduire la chose en disant qu'est pas une petite affaireil les fait concentriques.</font></font><br><font face="Arial"><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Ce nA savoir qu'est pas une petite affaire simplementilpour ceci : c'est que y a la sphère des vivants, par exemple, puis à simplement l'écrireintérieur, la sphère des animaux, la sphère ou le rond et puis à simplementl'énoncer, même seulement dans l'écriture, intérieur encore la chosene tient que jusqusphère des hommes. C'à preuve du contraire, à savoir jusquest ce qu'auon appellemomentle traduire en extension. Naturellement, jusqu'au moment où quelque chose de contingent on s'inscrivey est employé, parcequ’on en faux contre ce dire, et par bonheur, si est aussi embarrassé d'un terme dont je puis dire, <i>bon heur</i>me sers beaucoup,les deux mots séparés, smais ce n'est pas sans raison d'écrive f, x, virgule y...être : on en est embarrasséil y a une fonction qui noue comme le x et le y, et que ça a cesséde ne pas spoisson d'écrireune pomme.</font></font>
<br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; <font face="Arial">Pour vous délasser,je fais ici une franche parenthèse, ça n'a rien àfaire avec Aristote, parce qu'Aristote de ça n'a pas la moindreespèce d'idée... Moi, je suis embarrassé, par exemple,de votre nombre, tout à fait comme un poisson d'une pomme. Et pourtantil y a d'autres moments où je vous dis que les rapports de mon direavec, enfin, cette assistance justement dont je ne sais que faire, sontde l'ordre des rapports de l'homme avec une femme. Je vous ferai remarquerceci, comme ça que j'ai trouvé ce matin, ça m'a sautéaux yeux, que... eh ben que c'est déjà dans la Genèse.Ce que nous indique la Genèse par l'offre d'Eve, ça n'estrien d'autre que ceci : que l'homme, là il y a un flottement àce moment-là, c'est <i>la</i> femme, mais comme je vous l'ai dit,<i>la</i>femme n'existe pas, n'est-ce pas, mais de même qu'Aristote, enfinvasouille un peu, on ne voit pas pourquoi la Genèse, quoiqu'inspirée,en aurait fait moins, et que cette offre de la pomme soit très exactementce que je dis, à savoir qu'il n'y a pas de rapport entre l'hommeet la femme, ceci qui s'incarne très manifestement du fait que,comme je l'ai souligné, <i>la</i> femme n'existe pas, <i>la</i>femme n'est pas-toute, c'est de ça qu'il résulte que l'hommeavec une femme en est aussi embarrassé qu'un poisson d'une pomme: ce qui normalise nos rapports et ce qui me permet de les assimiler àquelque chose dont ça serait beaucoup dire que de dire que c'estl'amour, parce que à la vérité, je n'éprouvepas pour vous le moindre sentiment d'amour. Et sans doute est-ce réciproque,comme je l’ai énoncé : dans ce qu'il en est de l'amour, lessentiments sont toujours réciproques.</font></font><p><centerfont face="Arial"><font size="-1">f (x&nbsp;&nbsp;&nbsp; Ceci est une parenthèse,y)revenons à Aristote.</font></centerfont>
<pbr><font face="Arial"><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Pour Aristote, quoi? montre bien que le vrai, c'est pas du tout ça ait cesséqui est en jeu.Grâce au fait qu'il se fraye, qu'il fraye l'affaire de ne cette scienceque j'appelle du Réel, du Réel c'est-à-dire du trois,du même coup il démontre qu'il n'arrive au trois qu'en frayantles choses au moyen de l'écrit, à savoir que dès lespremiers pas sdans le syllogisme, c'est parce qu'il vide ces termes de toutsens en les transformant, en les transformant en lettres, c'écrireest-à-direen des choses qui par elles-mêmes ne veulent rien dire, c'est commeça qu'il faudrait fait les premiers pas dans ce que ça soit possiblej'ai appelé lascience du Réel. Qu'est-ce que la logique ainsi conçue, etattrapéejusqupar ce bout-là, qu'est-ce que la logique a à un certain point ça faire dans le restediscours analytique ?</font></font><br><font face="Arial"><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Ce par quoi vousêtes en somme, pour ma plainte, si nombreux à m'entendre, puisque c'est dans la mesure où ce que jje véhicule, c'est ce quise dégage du discours analytique. Dans le discours analytique leschoses procèdent d'une façon différente, et c'avanceestpourquoi vous êtes là, pour autant que, ici, je le prolonge,ce qui fait le corps de ce que je dis, c'est tout à fait autre choseque ça ce sur quoi, jusqu’à présent, on a cessé fondé une logique,c'est-à-dire des dits. Des dits qu'on manipule. Aristote le fait,mais comme je viens de svous le dire, la caractéristique de son pas,c'est de vider ces dits de leur sens. Et c'est par là qu'il nousdonne l'écrireidée de la dimension du Réel. Pourquoi ça</font></font>ne recommencerait<br><font face="Arial"><font size="-il 1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Il n'y a pas devoie pour tracer les voies de la logique, sinon de passer par l'écrit.C'est ce qu'Aristote démontre dès ses premiers pas ?, et c'esten quoi l'écrit se montre d'une autre dimension que le dire.</font></font><br><font face="Arial"><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Non seulement il Par contre, cequi vous retient, ce qui vous agite, et ce qui agitera sans doute de plusen plus, c'est que le dire vrai, c'est tout autre chose. Le dire vrai,c'est possiblesi je puis dire la rainure, c’est ce qui définit la rainurepar où passe ce qui... ce qu'il faut bien qu'ilsupplée àl'absence, à l'impossibilité d'écrire, d'écrirecomme tel le rapport sexuel. Si le Réel est possible bien ce que je dis,à savoir ce qui ne se fraye que par l'écrire, c'est bience qui justifie que j'avance que le trou, le trou que fera, que fait àjamais l’impossibilité d'écrire le rapport sexuel comme tel,c’est là à quoi nous sommes réduits, quant àce qu'on écrive Fil est, ce rapport sexuel, de le réaliser quand même... F</font></font><br><font face="Arial"><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Il y a des canalicules,il y a des choses qui font chicane, x et il ya des trucs où on se perd, mais il où on se perd de façon telle que c'est là proprementce qui constitue la métaphore dite du labyrinthe, on en arrive jamaisau bout, mais l‘important n'est clair qupas là, c'est de démontrerpourquoi onn'en arrive jamais au bout, c'est-à-dire de serrer dene près ce qui se passe quand il s'en agit, tout ce par quoi nous touchonsau Réel, de ce qui sans doute fait que du Réel, nous avons,comme tel, une idée propre et distincte, le Réel, c'est cequi se détermine de ce que ne puisse pas privés, d'aucune façon,s'y écrire le rapport sexuel.</font></pfont><centerbr><font face="Arial"><font size="-1">f <font color="#000000">&nbsp;&nbsp;&nbsp;Et c'est de là que résulte ce qu'il en est du dire vrai,tout au moins ce que nous démontre la pratique du discours analytique,c'est que c'est à dire vrai, c'est-à-dire des conneries,celles qui nous viennent, celles qui nous jutent comme ça, qu'onarrive à frayer la voie vers quelque chose dont ce n'est que toutà fait contingent que quelquefois et par erreur, ça cessede ne pas s'écrire, comme je définis le contingent, àsavoir que ça mène, entre deux sujets, à établirquelque chose qui a l'air de s'écrire comme ça d'oùl'importance que je donne à ce que j'ai dit de la lettre d’(x,ya)mur</font><font color="#990000">.</font></centerfont></font>
<pbr><font face="Arial"><font size="-1">&nbsp;&nbsp;Cette distinction quispécifie le discours analytique, qui m'a permis de le discernerparmi quatre autres qui étaient là parce...&nbsp; Pour démontrer donc parce qu'ilsont bien l'air, comme ça, de vivre, et non seulement ils ont l'impossibleair,mais ils sont infiniment plus robustes que le discours analytique qui aencore tout à faire quant à son frayage. Le discours analytique,non seulement réserve la place de la vérité, maisil faut prendre fondement ailleursest à proprement parler ce qui permet de dire ce qui, pour cequi est du rapport sexuel, y coule, remplit la rainure.</font></font><br><font face="Arial"><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Ailleurs C'est tout àfait important. C'est tout à fait important parce que dans ces écrituresçaprécaires puisquchange complètement le sens de ce dire vrai que je viens d'après toutabordde poser comme distinct de toute science du Réel. Ça en changecomplètement le sens, parce que, comme je viens de le dire, pourune fois, elles ont cessécette rainure n'est pas vide, et quil y passe quelque chose.</font></font><br><font face="Arial"><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Si certains d'entrevous se souviennent de ce que j'àai avancé, structuré commepartir le discours du moment où elles ont cessémaître, ils peuvent y lire, s'ils sont capables delire quelque chose, on pourrait croire ils peuvent y lire quela vérité du maître,ça peut reprendre. Cn'est bien rien d'autre que le sujet. Pour les sourds, je rappelleque le rapport discours du possible maître, c'est ça : avec ici deux flècheset ici deux flèches comme ça, et ici rien du contingenttout...</font></font></p></dir>
</p><pcenter><font sizeimg src="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; A prendre appui sur le noeud pour quequelque chose de l'impossible se démontre, qu'est-ce que je fais?</font><br><font size="-1ndup7a.jpg">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Je prends appui peut-être, laquestion mérite qu'on la soulève, sur une topologie.</font><br><font sizealt="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Puisque pour ce qui est de l'ordre,eh bien, on peut dire que c'est bien ce qui, jusqu'à présent,n'nondupes 7 a pas manqué, à savoir que c'est à mettre de l'ordrequ'on supporte tout ce qui a pu s'avancer : Discours du rapport dit sexuel. Il estvrai que cet ordre, on s'y embrouillait un tant soit peu les pattes, etqu'il est certain que ce n'est pas le même, ce n'est pas le mêmeordre, en tout cas, qu'instaure, qu'instaure ce que le discours analytiqueavance, ou paraît avancer de ce qui concerne le rapport sexuel.</font><br><font size="-1maître">&nbsp;&nbsp;&nbsp; L'ordre 1,2,3, ben, il y en a un quivient le premier, et ce n'est pas par hasard, on ne sait d'ailleurs paslequel vient le premier, ce n'est pas par hasard que ce soit le 1, puisquele second le seconde, comme on dit, et que le troisième résultede leur addition, simplement.</font><br><font sizeheight="-186">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Ça fait une suite qu'on a puqualifier de naturelle.</font><br><font sizewidth="-1134">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Ce qui laisse à rêver.Ce qui laisse à rêver d'autant plus que la dernièrefois je vous ai fait la remarque qu'à les écrire àla suite, le privilège de ces trois premiers, c'est qu'il suffitde les prendre à revers pour que tous les ordres soient possibles.</fontcenter>
<brdir><font face="Arial"><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Il suffit en effet qu'il y ait 1,2,3,Ce sur quoi reposeou 1,3,2le discours du maître, c'est ça ce que j'appelle ai appelé S1, S indice1, autrement dit lecommandement, l'impératif.Le discours du maîtreest là.Et pour un bout de temps. les prendre à reversSimplement parce que,parce quepour le signifiant existe. Parce que les six autres façons dS1, c'arranger est-à-dire le signifiant 1,2,3, soient possibles.</font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; L'idée de successeur, ça n'est-cepas, et rien d’autre que le fait que, de successeurle signifiant, il n'y en ait qu'una destas, mais qu'ils sont tous un dans la suite naturelledes nombres, quelconque. Et c'est une idée qui ne s'est dégagée quetard, tout ce qui est assez curieux, parce qu'il semblait bien que c'étaitlà la chose la plus tangible, la plus réelle qui soit, concernantla suite naturelle.</font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Pourquoi n'y aurait-il pas, de successeurs,sur quoi reposeune multitude ?</font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Ca ne va pas de soi. Nous avons unefoule d'exemples, celle de l'arbre notammentexistence du Un, de lc'arbre que nous rencontronspartout, vers notre descendance comme vers notre ascendance, pourquoi l'idéede successeur serait-elle inhérente à une suite privilégiéede successeurs se fondant sur ceci : est qu'il n'y en a qudu signifiant, et que chacun n'un ?</font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; Qu'il y en ait trois dans telest pascasunique, tel cas privilégiémais tout seul, a certainement rapport ce qui n’est pas tout àfait la mêmece qu'il y ait de l'Unchose.</font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; "Yad'lun", c'est comme ça queje me suis exprimé. Mais il est tout à fait imaginable quele trois ne soit pas pris dans l'ordre.</font>
<br><font face="Arial"><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; ÇaC'est justementparce qu'il n'y a pas deux... deux quoi ? deux êtres parlants quipuissent se conjoindre, faire deux, c'est pas nouveaujustement pour ça qu'ily a des signifiants, heinc'est-à-dire qu'ils parlent. Et ce que démontrele fameux triangle dont les Grecs ont tiré partidiscours analytique, le parti c'est que vousce qui se passe quand à la placesavezde ceux qui pourraient être sujets, repose là-dessussujets de quelque chose, et avecdu rapportsexuel, et avec luiquand à leur place il y a deux signifiants, toute la géométrieeh ben c'estqu'ils en ont extraiteça, et par quoi longtemps lc'est rien d'autre qui coule dans ce que j'idée claire a étéai appelépremière au regard "la rainure du distinctdire vrai". L'idée claire et distincte,qu'on dit !</font></font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Moyennant quoi c<font face="Arial">Pour ça, il fautque le S2, il faut que le S2 n'estait rien à faire avec le dire vrai.Autrement dit que le S2 soit réel.<i/font>more geometrico</ifont><br><font face="Arial"><font size="-1">&nbsp;&nbsp; Et si vous me suivezdans ce que j'ai tenté de frayer, dans mes premiers vagissements,qudans ce séminaire, vous concevrez que le S2, c'on a démontré pendant des siècles et que est çaa été un idéal et que ça le reste encore. Lelien de la mesure avec le phénomène de lj'ombreai écrit dans mon schème du discours analytique, je souligneque lephénomène, S2 c'est-à-dire avec l'Imaginaireun savoir, le savoir en tantqu'il suppose la lumièreinconscient, a instauré cet ordre, quc'on appelle"harmonique", a instauré, fondé, tout ce qu'il en est deça quicoule dans la proportion, d'une proportion qui était le seul fondement de lamesure, et instauré un ordre, un ordre qui a servi à construireune Physiquerainure du dire vrai.</font></font><br><font face="Arial"><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Ça ne ditpas rien, ce que je suis en train de vous raconter ! ça veut direque c'est un Réel, il y a du savoir qu'il y a beau n’y avoir aucunsujet qui le sache, il reste être du Réel. C'est un dépôt.C'est de là un sédiment... qui se produit chez chacun quand il commenceà aborder ce rapport sexuel auquel bien sûr il n'arriverajamais, quelque éducation qu'on lui donne, parce que s'il y a bienquelque chose qui n'améliorera en rien la situation, la situationdu rapport, c'est partie cettebien tout ce qu'on peut leur déconner sur le sujetidée de la suppositionce que ce rapport serait, soi-disant.</font></font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Parce <font face="Arial">Il n'en resterapas moins quec'est par des biais tout à fait incidents qu'entrerapour lui ce qui fait le trois, à fonder les chosessavoir le Réel. Parce quesur cet Imaginairebien sûr, Dieu merci, quand il commence, l'être parlant, il fallait qun'a pas la moindre idée qu’il est un sujet. Il compte un et deux,ce que vous voudrez, mais pas lui, et comme trois, il y ait derrière autre chosemettra tout cequ'on voudra, enfin, voire ce qui maquille les deux autres, à savoirlui-même, l'enfant, comme qui dirait. C'est un bon prétexte,à faire entrer le Réel tout en le voilant complètement,: une substancece n'est qu'un enfant, cle Réel ; si ce n'est pas l'enfant lui-même,ce sera n'importe quel tiers, ce sera la même chosetante Yvonne, enfin, n'est-cepas, cou n'importe quoi d'autre... le grand-père Machin. Du momentque ça fait trois, tout est bon pour ne pas s'apercevoir qu'il nes'agit que de trois comme Réel. Moyennant quoi il y a des chosesqui, par la tante Yvonne, par le grand-père Machin ou par l'enfantlui-même mot que, à savoir son pathétique, à savoirsuppositionqu'il est relégué, personne n'y comprend rien, sujet et tout ce qui spour cause,il n'ensuity a rien à comprendre.</font></font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Toute cette affaire était <font face="Arial">Il y aura toutde même quelque chose qui s'imprimera, c'est-à-dire non pastrois, parce que le trois est toujours voilé parquelque côté,le trois se dérobe, le trois c'est le support, il y aura S2, S indice2, deux S, deux signifiants grand S qui s'imprimeront, et qui donneront,selon la voie du pur hasard, à savoir de ce qui, avant tout, clochaitdans ces rapports avec ceux qui étaient là pour présideràce qu'on appelle son éducation, sa formation, il se formera ce savoir,ce savoir indélébile et en même temps absolument pastropsubjectivé, il se formera ce savoir réel, là impriméquelque part, imprimé tout comme dans Aristote l'alpha, le bêtaet le gamma, et c'est ça qui sera l'inconscient, et il n'aura riend’autre, hein, comme disait le personnage qui passait à la douane,disant : "Ça c'est de la nourriture pour ma chèvre", àla suite de quoi le douanier lui disait : "Ecoutez, c'est étonnant,parce que c'est des bretelles, enfin...!" - l'autre lui répondait: "Enfin, c'est comme ça, et si je puis direelle n'a pas ça, par trop phénoménaleelle n'aurarien d'autre...", ben c'est pareil pour le savoir inconscient : comme vérité,il n'aura rien d'autre que ces bretelles !</font></font>
<br><font face="Arial"><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Quand je témoigneLe savoir inconscient, quand jedis que le noeud, c'est de ça qui me cogite, et que mon discours, pourautant qu'il est s'agit de faire le discours analytique, joint pour que mon discours en témoigne,le dire vraiil se trouve queréussisse à quelque chose, parce que jc'ai fait quelques pas de plus que vous, ilest-à-dire réussisseest borroméen, en à se faire entendre quelque part pour suppléer à l'occasion, ce noeud, mais il pourrait êtreabsenceautre. Même s'il était autre, ma question, ma question desavoir, savoir en quoi ça a tout rapport avec ce qui distingue la topologie,avec ce qui distingue la topologie de entre l'espace fondé par les Grecshomme et une femme,l'espace en tant qu'il a donné une première matièreà décoller de la suppositiondes, qu'est-ce que suppose la topologie?pas toutes.</font></font></pbr><pfont face="Arial"><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; La topologie ne suppose, ne supposeVoilà ladistance,la différence qu'il y a entre le dire vrai et la sciencedans du Réel. C'est pour ça que pour ce ququi est de traiter l'il inconscient,nous en sommes beaucoup plus près à manipuler la logiqueque tout autre chose, parce que c'est du même ordre. C'est de l'espace, quordrede l'une consistanceécrit, comme je vous le savez oufais remarquer d'ailleurs le grandvous ne le savez pasfrayeur du discours analytique, en tous les casFreud lui-même, je n'peux a pas vous faire un courspu l'éliminer,de topologiecar quand il donne ses petits schémas, mais rien n'exclut est-ce pas, dans... dansses esquisses, celles par lesquelles il a essayé de comprendre ceque ça pouvait bien être que vous vous reportiez au texte mathématiquele savoir de l'hystérique,où seh ben qu'est élaborée cette notion-ce qu'il fait ? Il ne fait exactement rien d'autre que ça, à partir desavoir ces petits points et ces petites flèches, ces modesld'abandon écrit grâce à quoi il rend compte, il croit rendrecompte, de la mesure quelque chose qui était vieux comme tellele monde, à savoir quelle qul'en soitanamnèse,il est évident que depuis longtemps onde cette mesure la relativitéconsidère l'anamnèse comme une marque, comme une impression, puisqu'il faut aussi bien elle ne se produitdire que c'est tout à fait flottant, insuffisant.Là le cher Freud confirme en quelque sorte que dc'est bien de çaqu'il s'homothétieagit, pour savoir lquand il s'heure et la hauteur agit du soleilRéel, nousqu'il s'agit de quelque chosenqui s'écrit, quelque chose qui s'écrit et qu'il s'avons rien que le rapport agit delire, de l'ombre avec lire en le piquet qui la projettedéchiffrant,que cet qu'est sur un triangle -ce que ça veutdire ? ça ne veut rien dire que tout repose concernant la mesurece quelque chose qui, en le, sije puis dire, la topologieen le réanimant dans le sens de ce quelque chose,ellede ce quelque chose qui fait barrage à tout essai de débouchersur le rapport proprement dit, élabore un espace en le réanimant grâce àce quelque chose qui ne part que est cette espèce de ceci : parasite, de la définitionmeuble ducorps, que le discours analytique désigne par le phallus, fait quedu voisinagece qui faisait bouchon, de qui est à proprement parler la proximitéjouissance, ça a le même senset la jouissance phallique comme telle, cn'estune définition du proche-ce pas, ce qui part de... d'un axiomefaisait bouchongrâce à quelque chose que le discours arrive à obtenir, cn'est -ce pas, àsavoir que tout ce qui fait partie dà le séparer dans l'un espace topologiqueImaginaire, s'il est àfaire cette castration symbolique, permet que quelque chose réussissemettre dans un voisinageou rate, rate le plus souvent, qui établit au moins entre deux sujetsquelque chose qui ressemble au rapport, implique qu'il y a quelque chose d'autre quicesse de ne passoit dans le même voisinages'écrire pour quelques cas rares et privilégiés.</font></font><br><font face="Arial"><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; La notion pure Je parle bien sûrde voisinage impliquedoncce qui s'obtient par la bonne voie, déjà, triplicité, et ne se fondepar le discours analytique, ne se fondesur rien qui unisse chacun des éléments triplesparce que, si il faut bien dire que ce souci de la vérité n'estdnécessité que dans des cas tout à fait rares, ceuxpour lesquels l'appartenir au même voisinage. Caide du discours analytique que j'est un espace qui ne se supporteque de la continuité qui ai dit s'en déduit, car il n'y a pasimpose, dansle topologiqueles autres discours, dc'autres rapports dits continus que fondés sur est beaucoup plus aisé à obtenir.Dans levoisinage et qui discours du même coup impliquent ce que j'appellerai la malléabilité.C'est ce qu'ils appellentmaître, eux, les mathématiciensvoire pourquoi pas dans le discours universitaire, la déformationcontinuehein...</font></pfont><pbr><font face="Arial"><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Vous voyez que la référenceDans le discoursde l'hystérique, hein, ça fait rêver, un nœud... Maisau continu est dans les deux autres bons vieux discours, le motroi et la reine, mais çava tout seul ! Il suffit d'être roi et jointreine pour s'entendre. C'estmême impensable qu'ils ne s'entendent pas. Bien sûr, çan'a rien à faire avec la vérité du rapport sexuel, accolémais l'important c'est pas ça, au mot déformationhein,lequel pour être plus correct sc'énonce : transformation continueest que ça y supplée.</font></font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Ce sont <font face="Arial">Alors, parce quedans des images aussicas le savoir inconscient est boiteux... Mais non seulement il estboiteux, mais ilfait nettement obstacle à ce que le rapport sexuelfaut s'établisse. Alors, dans ces cas-là, on a affaire àla nécessité de passer par le discours analytique, àsavoir on a besoin du direvrai, elles se saisissent moins bienet surtout un peu de soupçonnerquelles mauvaises fréquentations a le dire vrai. Le fait A savoir que je parle de saisirtoutce qui vient troubler, perturber le discours, mon Dieu calme et tranquille,<i>Beqriff</i>auquel normalement nous avons affaire,<i>begrifflich</i>qui fonde la normale, implique une référence à savoirque ce quivient troubler ces discours parfaitement bien établis,ça ne sort jamais que des cas, des cas où on a besoin ense saisit biensomme d'une psychanalyse, c'est-à-dire le solidedes cas de vérité. Le souple se saisit moins</font></font><br><font face="Arial"><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Ca ne les réduitbien, pas à prendre dans la main. L'idée, l'idée qui fondela topologie mathématiquement définieindignité, est d'aborder ce que je dis : qu'ilils ne soient pas normaux,en c'est de ce qu'elle supporte, c'est ils ont avec la topologie quivérité une espèce de... uneespèce, comme ça, supportede parenté,qui tient au fait qu'ilssont dans le joint où ça ne marche pas pour un seul Réel,à savoir ce nqu'il en est pas un sujet qui lui est supposé, heindu rapport dit sexuel.</font></font>
<br><font size="-1"><font face="Arial">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Ce que la topologie supporteIl est donc bienentendu, l'idéeje me livre là,comme ça à des remarquesqui me semblent utiles à vous faire pour que vous ne fassiez pascd'erreurs, il est de l'aborder sans image, de donc bien entendu que le discours analytique ne consistepas du tout à faire rentrer ce qui ne leur supposerva pas, de ce qui ne leur supposer,va pas dansà ces lettresle discours normal, telles qu'elles fondent la topologiehein, [... petitecoupure son : dont</font> je viens de ne leur supposer que le Réeldésigner deux.]</font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Le Réel en tant quC'il n'ajoute...&nbsp;est-ce que vous vous apercevez que ce terme est encore pas du tout de trop, puisquça q<font face="Arial">u'ilévoque l'addition ? qus'agit, il nne s'ajouteagit pas du tout de les y faire rentrer, à ce que nous savonsdistinguer comme lc'Imaginaire, cette souplesse liée au corps, ouest simplementcomme Symbolique le fait de dénommer noter que le voisinage, la continuité,qu'il n'ajoute discours qui ne procède que quelque chose, par le Réeldire vrai, et non pas de ce quc'ilestsoit troisièmejustement ce, ce qui ne va pas, mais de comme ça, qus'à eux tousest toujours démontré, ils fassenttrois. Et il suffit que cquelqu'est tout ce qu'ils ont de RéeIun fasse un effort, pour dire vrai, rien de plus. Jepour que çaveux dire : dérange tout un chacun. C'est tout ce qu'ils ont de Réel. Çale monde, je restitue là simplement les chosesa l'air peu, mais ce n'est pas rienà leur contexte.</font></font></pbr><pfont face="Arial"><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Ce nque je veuxsimplement vous faire remarquer : c'est pas rien puisqueen constituant cette faille, cettefaille du dire vrai avec la science du Réel, on len la reconstituantpour ce qu'a sielle vaut, en la reconstituant à la place mêmeoù elle se situe, je ne ferme là, bien senti loin de toujourslà,aucun système du monde, bien au contraire. Pour qu'un systèmedu monde existe, il n'y a qu’un seul moyen, que cn'est justement là-dessus quece pas, que lec'est...&nbsp;Réel était supposéc'est d'y faire des suppositions. Il sCe qu'agit il y a de... de le débusquerplein d'arêtes,je veux dire de cette position de supposition stimulant, dans un discours comme celui d'Aristote, qui en fin de compte le subordonnen'était sûrement pas un idiot ni même un con, lesubordonne à ce qu'on imagine ou à ily a de stupéfiant, c'est que y a pas de texte où ce soitplus clair, ce qu'on symboliseappelle "supposition".</font></font><brp><font face="Arial"><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Tout Cette distinctionque je viens de vous articuler aujourd'hui, entre le dire vrai et la sciencedu Réel, j'ai appelé ça comme ça, j'ai appeléça comme j'ai pu : le dire vrai, il est là, c'est ce ququej'ils ont essaye de faire, la science du Réel,c'est que ça fasse trois. Làce quelque chose quiest la logique, et qui aussi tient debout, trois n'est -ce pas une supposition, qui tient deboutgrâce au fait que nous avonspour ceux qui savent, bien sûr, grâce à la théories'y retrouver. La distinction estdes ensemblesquelque part, je peux vous montrer où, élaboré le nombre cardinal comme tel.</font>quelque part dans Les Premiers<br><font size="Analytiques, hein : 1-1">37, là, ouais...&nbsp;1-37...&nbsp;&nbsp; Ce qu'il faut voirnon, ce quc'il fautque est au... si vous supportiezprenez le repérage sur les manuscrits, cn'est ceci : -cepas, c'est vers la septième ligne de mettre en question, la page des manuscrits de mettreceen question que ce n'qui est pas un modèlenuméroté par le 49 a. Bon, le 37, ce qui serait de lc'ordreest la divisionde l'Imaginairela traduction. Ce nIl s'est pas un modèle parce que, parce que parrapport à ce trois, vous êtes non pas son sujet, lagit des différentes espèces d'imaginantou le symbolisant, vous êtesattribution, vous êtes coincés : vousn'êtes quedes expressions... en tant que sujetsNon, vous ce n'êtes que les patientsde cette triplicitéest pas ça, c'est plus loin...</font></font>
<br><font face="Arial"><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Vous êtes les patients, d'abord,parce que, parce que c'est déjà dans la langue. Or il n'yAh ! <i>Il fauta pas de langue où le trois ne s'énonce. C'est dans la langueet c'est aussi dans le fonctionnement qui sopérer l'appelle le langage.échange des</font><br><font size="-1"i>...&nbsp;&nbsp;&nbsp; Cc'est-à-dire la structure logiquetelle que, tout naïvement, enfinplus loin, le premier qui ait commencén'est-dedansce pas, par exemple le premier à notre connaissancec'est au 49 b, biensûr, le premier à notre connaissance, à savoir Aristoteau contraire,<i>il faut aussi opérerenfin, celui dont on a justement des écrits, il a bien fallu qul'ilmanipule la chose avec échange des petites lettrestermes de valeur identique, et ça ne peut pas semanipuler sans qu'il y en ait trois. A part cecimots pour mots, bien sûr, àlocutionspart ceci bien sûr qu'il y restait quelque chose de la suppositiondu Réelpour locutions, mot et que ce Réel, il nlocution l'a pas cru pouvoir le supporterdun pour l'autre chose que le particulier, le particulier dont il s'imagine queet toujours préférerc'est un mot à une locution pour faciliter ainsi l'individu, aIors que justement, en le situant dans la logique commeexposition des termes.</i>Ilparticulier, il montre bien que de a l'individu, il air de ne se faisait parler quede sa petite affaire...une notion tout imaginaire, le particulier Mais c'est une fonction logique, etquand il donnequeun exemple... il lui ait donné pour support le corps individuel est trèsprécisément, enfin, le signe qu'il lui fallait une supposition.</font></font><br><font size="-1"><font face="Arial">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Un dire qui ne suppose rien<i>Par exemple, sinonque triple est le Réel, j'ai dit triple, c'est-à-dire trois,non pas troisième, c'est en quoi consiste le dire que je me trouvecontraint d'avancer par la question du non-rapport, du non-rapport en tantqu'il touche spécifiquement à ce qun'il en est de la subjectivationydu sexuel. Mon a aucune différence entre dire consiste en ce Réel, en ce Réel qui estce dont le trois insiste, insiste au point de s'être marquédans la langue.</fonti><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Il ne s'agit pas et alors à ce propos-d'une pensée,puisqu'en tant que pensée, elle estil dit quelque chose de vrai mais, si je puis dire, encore <nobr>vierge.</nobr></font>c'est bien un hasard<br><font size="vous allez voir ce qu'il dit de vrai -1"><nobri>&nbsp;&nbsp;&nbsp; E</nobr>t aussi bien la pensée,au regard l'objet de ce qui se supporte de cette avancée du trois, du troiscomme nœud, et comme rien d'autre, la pensée supposition n'est que ce que j'aiappelé tout à pas le genre de l'heure ce qui se cogite, cobjet de l'est-à-opinion" et dire "le genre" et dire"l'objetun rêve noir, celui dans lequel, communément, vous habitez.Car sl'il y a quelque chose à quoi nous initie objet de l'expérienceanalytique, copinion n'est que ce qu'il y a pas identique avec un certain objet de plus près du vécu,supposition"du vécu comme tel, c'(car le sens est le cauchemar. Il n'y a rien de plus barrantmême dans les deux jugements),</i> <i>au lieude la penséelocution énoncée, même de la pensée qui se veut claireet distincte : apprenez à lire Descartes il vaut mieux poser comme un cauchemar, çavous fera faire un petit progrès. Comment même pouvez-vousne pas apercevoir que ce type qui se dit "Je pense donc je suis", c'estun mauvais rêve ?termes</fonti>
<br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; L'événement, lui ? l'événementne se produit que dans l'ordre du Symbolique. Il n'y a d'événement..que de dire.</font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Je pense que, au siècle oùvous vivez, vous devez vous apercevoir, quand même, de çatous en les joursbloquant. Cette pluie d'informations, si je puis dire, au milieude... desquelles on a pu et ça s'étonner que vous subsistiez encore, quevous gardiez votre jugeote, à savoir que vous ne vous en fassiez,finalement, pas trop, hein, de ce que le journal vous annonce tous lesmatins, ben, Dieu merci, appelle ça vous passe, comme on dit, comme de l'eausur les plumes d'un canard... Sans ça, où iriez-vous ?</font><brb><font sizeface="-1Symbol">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Il faut tout de même bien qu'ilupolektony ait quelque chose de fallacieux qui... dans lequel, hélas, lemalentendu de mon dire, je veux dire celui-même que je vous tiensici, pour autant que j'en suis moi-même la victime, auquel il fautdonc qu'un certain dire, le dire sur le dit, ait contribué, pourque vous puissiez croire que dans ce qui fait tenir votre corps, </font></b>c'estune circulation d'informations parties de je ne sais quels endroits, deprime abord de l'ADN, qu'on nous dit, ou du DN je ne sais pas quoi, quec'est de ça que vous vous supportiez, que tout ne soit, en somme,que... une information dont heureusement on nous avertit enfin, que cetteinformation ne tient qu'-à violer un des fondements mêmes dece qui par ailleurs s'édifie comme énergétique, est-cedireque tout cela n'est pas aussi de : "<i>l'ordre objet de la cogitation ? Est-ce que,dans d'autres termes, nous sommes obligés d'en tenir compte quandce à quoi, dans le politique, ce à quoi nous avons affaire,c'est à un type d'informations dont le sens n'a d'autre portéeque l'impératif, à savoir le signifiant Un. C'est pour nouscommander, autrement dit, pour que le bout du nez suive, que toute information,à notre époque, est déversée comme telle.supposition" et</fonti>"</pi>l'objet de l'opinion"<p/i><font sizeface="-1Symbol">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Dans donc ce que je vous énonced'un certain diredoxeston, l'important n'est rien que les conséquences qu'ilpeut avoir. Encore faut-il pour qu'il ait ces conséquences, que<b>doxastonje m'en donne la peine.</b></font>et<br>non pas<font sizeface="-1Symbol">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Ce dire n'est véritable, ici,je le profère pour le cas plus que probable où vous ne vousen seriez pas aperçus - il n'est véritable qu'en tant qu'ilfait limite à la portéedoxeston, à la portée de cequi nous intéresse au premier chef, nous autres, dans le discoursanalytique de ce qu'il fait limite à la portée de la vérité.</font><br>je vous demande <font sizeface="-1Arial">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Il y avaitpardon, autrefois comme çaunje suis fatigué... un garçon de bureau qui poussait des cris après chacunde mes séminaires, cris qui se résumaient dans&nbsp; "Pourquoiest-ce qu'il ne dit pas le vrai sur le vrai ?"</font></font>
<br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Ce personnage est bien connu, on luia même confié le soin d'un Vocabulaire... Je n'ai pas àdire le vrai sur le vrai, pour la raison que je ne peux en dire que ceci: cQu'est -ce que le vrai c'est ce qui contredit le faux. Mais par contre jepeux dire, je peux dire, mais encore fallait-il que jl'y mette le temps,objet decar il y a un temps pour tout, je peux dire la vérité surla vérité.l’opinion ?</font></p><pbr><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; La véritéBen, l’objet de l'opinion, c'est cequi marche. L’opinion, elle est aussi vraie que quelque chose d'autre.L'opinion vraie, c'est justement là-dessus que se casse la têtePlaton dans le Ménon. L'objet de l'opinion, c'est ce qui fait qu'onne peut la dire, puisqus'elle ne peut aperçoit pas que se mi-dire.</font>.. jusqu'à ce que ça vous tombe<br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; La vérité ne se fondesur la tête, naturellement,qu'il n'y a pas de rapport sexuel. L'objetje viens de le dire que sur la supposition du faux : elle n'est contradictionpas identique, dit-il à cette occasion.C'est-à-dire que tout ce dont il nous parle pndant tous </fonti>Les Premiersanalytiques<br/i><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Elle ne se fonde que sur le non. Son, c'est quelque chose qui nous fait comprendre combien,énoncé nquand on est dans l'est que la dénonciation ordre du Réel, il faut faire de la non-véritésuppositions.</font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Elle se dit rien que par le mi-. DisonsDans l'ordre du Réel, noussommes tout le mot, elle est mi-métique : elle est temps forcés de l'imaginairesupposer. Et c'estbien pour ça que nous Nous sommes forcés d'en passer par làà mon avis. Elle est de supposer, enfin, les choses les plus <nobr>folles : </nobr>l'Imaginaire en tant que l'Imaginaireesprit, c'estle faux deuxièmela matière, par rapport au Réelaussi, en tant que le mâlequelquefois,et même quelques autres histoireschez l'être parlantdu même genre, n'est -ce pas, qui sont heureusement un tout petitpeu plus rapprochées de nous, mais qui n’en sont pas la femelle ; et qumoins suppositionnelles.J'il n'a essaie ici de procéder par une voie où je ne fasse pas de suppositions, où je ne soupçonne rien d'autreêtre suspect.biais par où se poser. SeulementPuisque la supposition, ça a ce ne sont pas versant-des..Oui.Dans Aristote,il appelle ça <font face="Symbol">to upokeimenon</font> quelquefois,des biais dont nous puissions nous satisfaire. Cmais là, dans ce cas-là, c'en est au point quelque chose qu'onne peut dire que l'inconscient se définit de ceci et rien que de ceci: qu'il traduire en sait plus latin que cette vérité, et que l'homme n'estpas la femme.par </fonti>suspicabile</pi><p><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Même Aristote , n'a pas osémouffeter ça ! Comment est-ce qu'il aurait faitpas, d'abord hein ?</font>
<font face="Symbol">upolekton</font>c'estle soupçonnable. Bien sûr, le soupçonnable, c'est trèsrespectable, comme le reste, n'est-ce pas, c'est ce qu'il nous faut soupçonnercomme étant Réel, et ça mène très loin,ça mène à toutes sortes de constructions. L'importantserait peut-être d'en rester à ce que seule permet d'affirmerla science du Réel, à savoir que le noyau de tout ça,c'est avant tout la logique, c'est-à-dire ce qui n'a jamais réussià avancer d'un pas, d'un quart de pas, d'un bout de nez de pas,hein, que par l'écrit. Ce qui est quand même quelque chose.</font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Dire "aucun homme n'est femme"Bon, je vous ai raconté ça,ça aurait été vachement culottéet puis je vous ai fait là mon noeud borroméen, il faut bienque vous vous imaginiez que ce nœud borroméen-là, alorsc'est sije puis dire le seul qui... qui se présente décemment, surtoutsià son époque ! Alors il ne l'a pas fait… S'il avait dit je puis dire.</font><br><font size="-1"tout>&nbsp;&nbsp;&nbsp; Il se présente décemmenthomme nparce qu'est pas femme"il a la place pour ... Hein ? Eh bienpour se déployer, vous voyezn'est-ce pas, hein, voyez le sensque mais ça prend : celui ne l'empêche pas d'une exception ; être facilement l'objet detoutes sortes de déroutements. Vous y remarquerez par exemple qu'il est très facile d'y en a quelques-uns quiretrouver, par exemple, les trois plans de référencene le sont pasdes coordonnées cartésiennes. CEt c'est en tant que tout, bien ce qu'il na defallacieux. Parce que les coordonnées cartésiennes, c'est pas femme. A, làquand même tout autre chose,c'est quelque chose qui du seul faitenfin que ça implique la surface comme ex-istante est à lasource de toutes sortes d'images fallacieuses : le "A" du quanteur<i>more geometrico, hein, "A" </i>qui a suffi pendant des siècles à assurer beaucoup de x, x chosesd'un pointcaractère prétendûment démonstratif, et y, barré :sorttout entier de là.</font></p><center><p><img src="ndup6bndup7b.jpg" alt="Non dupes 6 nondupes 7 b : tout homme n'est pas femmele noeud bo" height="17140" width="51144"></p></center></dir>
<pdir><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; SeulementLe fait que, l'ennuyeuxle fait que le caractèrefallacieux de la surface, cn'est que c'estpas vrai du tout et que ça saute aux yeux que -ce ne soit pas vrai,est démontré parhein !</font>ceci, que quand vous essayez de la rejoindre avec cet appareil qui est<br><font size="-1">là, vous obtenez, ce qui constitue le...&nbsp;&nbsp;&nbsp; La seule chose... La seule chose qu'ondepuis quelques temps,pourrait écrireenfin, c'est queje pense pour vous... il n'existe pas le sigle de x dont on puissedire...</font><br><font size="-1">ce qu'il ne soit pas vrai qu'être hommeen est du nœud borroméen, ce n'estpas être femme :à savoir le joint où les trois ronds, ça se noue ensemble.</font></p><center><img src="ndup6c.jpg" alt="Non dupes 6 c : il n'existe pas de x dont on puisse dire qu'il ne soit pas vrai qu'être homme ce n'est pas être femme" height="30" width="75"></center>
<p><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Tout ceci, bien sûr, il fautle noter au passage, suppose que le Un est triple.</font> <br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; A savoir que, il y a le Un dont onfait le tout, à savoir ce qui s'unifie comme tel, il y a le Un quiveut dire l'un quelconque, à savoir ce que je vous dirai tout àl'heure, et puis il y a le Un, mais unique, qui seul fonde le tout.<b><sup><a href="#1">1.</a></sup></b></font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Nier l'Un unique, c'est làle sens de la barre sur le quanteur de l'existence.</font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Pour ce qui est de l'un quelconque,il nous faut bien le considérer comme un vide pur.</font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Que le savoir inconscient soit topologique,c'est-à-dire qu'il ne tienne que de la proximité, du voisinage,non de l'ordre, c'est en quoi j'essaie de dire, de fonder là-dessusqu'il est nodal. Ce qui est à traduire de ceci, qu'il s'écritou ne s'écrit pas. Il s'écrit quand je l'écris, queje fais le nœud borroméen, et... quand vous essayez à cetinstant de voir comment Et où ça tient, c'est-à-dire que vous enfaites... que vous en cassez un, les deux autres se baladent. Il ne s'écritplus. Et c'est là que se voitnoue, que s'amorce la convergence <b>dunodal et du modal</b>.</font></p><p><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Donc ce savoir inconscient ne se supportepas de ce qu'il insiste, mais des traces que cette insistance laisse.</font> <br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Non pas de la véritéenfin,mais de sa répétition en tant que c'est en tant que véritéqu'elle se module.</font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Ici, il faut que j'introduise ce dontse fonde le voisinage comme tel. Le voisinage comme tel se fonde de lanotion d'ouvert.</font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Ceci, la topologie en abat tout desuite la carte. C'est d'ensembles en tant qu'ouverts, qu'elle se fonde.Et c'est bien en quoi elle aborde, elle aborde par le bon biais ceci :que la classe ne se ferme pas. C'est-à-dire qu'elle accepte le paradoxe,le paradoxe façon qui n'est paradoxe que d'une logique prédicative, àsavoir que si la logique renonçait simplement à l'êtreproprement parler concise,c'est-à-dire que soit rayée purement et simplement la logiquepropositionnelle, il n'y aurait pas de problème, le problème,s'il y en a un, problème désigné de paradoxecelle, étantseulement celui-ci que la classe Homme n'est pas un homme.</font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Tous les paradoxes se ramènentà ça.</font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Qu'est-ce que ça veut dire?</font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Sinon qu'à la rigueur ce quenous pouvons désigner d'Homme est un ensemble ouvertfaçon, ce qui sauteaux yeux.</font> <br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Alors voyons bien ceci : la véritéa une limite d'un côté, et c'est pour ça qu'elle estmi-dire.</font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Mais permet par exemple de l'autre elle est sans limite,elle est ouverte. Et c'est bien en quoi peut l'habiter le savoir inconscient,parce voir que le savoir inconscient, c'est un ensemble ouvert.</font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Vous voyez, vous voyez, je l'étale,hein, que l'amour ça me tracasse.</font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Vous aussi, bien sûr. Mais pascomme moi ! Hum...</font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; C'est même pour ça que,une parenthèse, votre nombre me gêne : depuis quelques temps,je ne peux plus vous identifier à une femme. Ça m'emmerde.</font></p><p><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Bon l'amour, dirai-je donc, puisque,vous me pardonnerez que ça me tracasse, l'amour, c'est la vérité,mais seulement en tant que c'est à partir d'elle, à partird'une coupure que commence un autre savoir que le savoir propositionnel,à savoir le savoir inconscient.</font> <br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; C'est la vérité en tantqu'elle ne peut être dite du sujet, en tant que ce qui est supposé,que ce qui est supposé pouvoir être connu du partenaire sexuel.L'amour, c'est deux mi-dire qui ne se recouvrent pas. Et c'est ce qui enfait le caractère fatal. C'est la division irrémédiable.Je veux dire à quoi on ne peut pas remédiercoince, ce qui impliqueenfin,ce qui implique que le "médier" serait déjà possiblehein.Et justement, voilà c'est non seulement irrémédiable, mais sansaucune médiation.</font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; C'est la connexité entre deuxsavoirs en tant qu'ils sont irrémédiablement distincts. Quantcommeça se produit, ça fait quelque chose de... de tout àfait privilégié. Quand ça se recouvre, les deux savoirsinconscients, ça fait un sale méli-mélo.</font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Et là, je vais avancer, enfin de ce laïus, c'est bien le nom qui convient, je vais avancer quelquechose qui... est comme ça, enfin, qui tranche : le savoir masculin,chez l'être parlant, est irrémédiablement une erre/unaire?</font><br><font size="-1">il est coupure, amorçant une fermeture, justement,celle du départ, c'est pas son privilège mais il part pourse fermer, et c'est de ne pas y arriver qu'il finit par se clore sans s'enapercevoir.</font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Ce savoir masculin, chez l'êtreparlant, c'est le rond de ficelle. Il tourne en rond. En lui il y a del'Un au départ, comme trait qui se répète d'ailleurssans se compter, et de tourner en rond il se clôt, sans mêmesavoir faut que de ces ronds, il y en a trois.</font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Comment peut-il, comment pouvons-noussupposer qu'il y arrive, à en connaître un bout, de cettedistinction élémentaire ?</font> <br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Ben, heureusement, pour çail y a une femme. Je vous ai déjà dit conceviez que la femme, naturellementc'est ce qui résulte de ce que j'ai déjà écritau tableau, que la femme ça n'existe pasles... Mais une femme, ça...ça peut se produire, quand il y a nœud, ou plutôt tresse.</font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Chose curieuse, la tresse, elle nese produit que de ce qu'elle imite l'être parlant mâle, parceque... elle peut l'imaginer, elle le voit strangulé par ces troiscatégories qui l'étouffent. Il n'y a que lui à nepas le savoir, jusque-là. Elle le voit imaginairement, mais c'estune imagination de son unité, à savoir de ce à quoil'homme lui-même s'identifie.</font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Non pas de son unité commesavoir inconscient, parce que le savoir inconscient, il reste plutôtouvert. Alors, avec cette unité, elle boucle une tresse. Pour faireun nœud borroméen, je vous l'ai dit que, il faut faire six gesteset six gestes grâce à quoi, grâce à quoi ilssont dans le même ordre, à ceci près que justement,rien ne permet de les reconnaître. C'est bien pour ça qu'ilfaut en faire six, à savoir épuiser l'ordre des permutationsdeux à deux, et savoir d'avance qu'il ne faut pas en faire plus,sans quoi on nœuds se trompe. C'est bien en quoi, enfin, une femme n'est pasdu tout forcément tressée, de sorte que c'est pas du toutforcément avec le même élément qu'elle faitle rond au bout du compte.</font></p><p><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; C'est même pourquoi elle resterejoignentune femme, entre autres, puisqu'elle est définie par la tresse dontelle est capable, eh bien, cette tresse, il n'est pas du tout forcéqu'elle sache que ça soit qu'au bout de six que ça tiennele coup pour faire un nœud borroméen. C'est pas du tout sûrque... elle sache non plus que le trois ça a rapport au Réel,il peut lui en manquer la distinction, de sorte que ça fait un nœud,si je puis dire, encore plus noué, d'une unité encore plusune.</font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Dans le meilleur cas, hein, dans lemeilleur cas, il se peut que ça... ça n'en fasse qu'une,de corde, de rond de ficelle, au bout du compte, il suffit que vous imaginiez,n'est-définir ce pas, que le 1,2,3, se raboute au 2,3,1. Ça fera un nœud,encore bien plus beau, si je puis m'exprimer ainsi, n'est-ce pas...</font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Je veux dire que tout se continuedans tout, et après tout, ça n'en reste pas moins un nœud,parce que si vous avez fait une tresse, ça donne forcémentquelque chose, quelque chose qui en noue forcément au moins deux,et si deux des brins se rejoignent, eh bien, ça fera quelque chosequi se nouera ou ne se nouera pas au troisième, mais la questionn'est pas là.</font>une tout autre définition </p><p><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Le ratagedu point, si je puis dire, dans cetteaffaire, c'est-à-dire ce par quoi <i>la</i> femme n'existe pas,c'est bien en quoi, cela même, elle arrive à réussirl'union sexuelle. Seulement c'te union, c'est l'union de un avec deux oude chacun avec chacun de chacun de ces savoir le point où les trois brins. L'union sexuelle, sije puis dire, est interne à son filage.</font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Et c'est là qu'elle joue sonrôle, à bien montrer ce que c'est qu'un nœud, c'est ce parquoi l'homme, lui, réussit à être trois. C'est-à-direà ce que l'Imaginaire, le Symbolique et le Réel ne ronds se distinguentque d'être trois, tout brutcoincent.</font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; C'est-à-dire que... sans queson sujet s'y retrouve, c'est à partir de cette triplicité,dont une femme parfois fait sa réussite en la ratant, c'est-à-diredont elle se satisfait comme réalisant en elle-même l'unionsexuelle, c'est à partir de là que l'homme commence àprendre d'une petite jugeote l'idée qu'un nœud ça sert àquelque chose.</fontcenter></p><p><font sizeimg src="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Je vous avais dit que l'hystériquefait l'hommendup7c. Mais c'est formé par l'hystérique que l'hommepart de l'idée, l'idée première, la bonne, celle quilui laisse une petite chance, part de l'idée qu'il ne sait rien.</font><br><font size="-1jpg">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Ce qui est son cas, à elle,d'ailleurs, puisqu'elle fait l'homme. Elle ne sait pas que l'union sexuellen'existe qu'en elle et par hasard. Elle ne sait rien, mais il se trouveen contrecoup apercevoir ce nœud.</font> <br><font sizealt="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Et ça donne chez lui un résultatsecond qui est tout différent en somme nondupes7 c : c'est qu'à refuserson savoir ouvert, du même coup, il le ferme. Il constitue le correctnœud borroméen. Que le seul Réel qu'est le joint où les 3, il y accède,il sait, il sait que... il sait qu'il parle pour ne rien dire, mais pourobtenir des effets, qu'il imagine à tour de bras que ces effetssont effectifs, encore qu'ils tournent en rond, et que le Réel ille suppose, comme il convient, puisque le supposer n'engage à rien,à rien qu'à conserver sa santé mentale.</font><br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; C'est-à-dire être conformeà la norme de l'homme, à la norme de l'homme qui consisteen ceci qu'il sait qu'il y a de l'impossible et comme disait cette charmantefemme enfin, que je vous ai déjà citée : ronds ça se noue ensemble"Rien pourl'homme n'est impossible, ce qu'il ne peut pas faire, il le laisse". C'estce qu'on appelle la santé mentale.</font><br><font sizeheight="-163">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Notamment que de n'écrire jamaisle rapport sexuel en lui-même, sinon dans le manque de son désir,lequel n'est rien que son serrage dans le nœud borroméen. C'estpourquoi je l'ai exprimé pour la première fois, il y a untemps ; mais il y a des gens qui ne s'en sont avertis que maintenant, j'aipu le constater - il est vrai que c'est quelqu'un qui, qui n'avait quedes notes, enfin pour s'informer "Je te demande de refuser ce que je t'offre,parce que ça n'est pas ça". Pas ça que je désireque tu acceptes, ni d'arriver à quoi que ce soit de cette espèce,car je n'ai affaire qu'à ce nœud-même.</font></p><p></p><hr width="100%"><p><a name="1"></a>1. Il s'agit de l'<b><i>Einheit</i></b> et de l'<b><i>Einzigkeit</i></b> <br>Cf. un extrait de <a href="../identifi/identi10.htm81"><i>L'identification</i>,21 février 1962</a><br>&nbsp;</p><dir><font size="-1">Donc, cet UN, son paradoxe, c'est justement ceci : c'estque plus il ressemble, je veux dire plus tout ce qui est de la diversitédes semblances s'en efface, plus il supporte, plus il incarne, dirai-je,si vous me passez ce mot, la différence comme telle. Le renversementde la position autour de l'Un fait que de<i>l'<b>Einheit</b></i> kantienne,nous considérons que nous passons à <i>l'Einzigkeit</i> àl'unicité exprimée comme telle. Si c'est par là, sije puis dire, que j'essaie pour emprunter une expression à un titre,j'espère, célèbre pour vous, d'une improvisation littérairede Picasso, si<b> </b>c'est par là que j'ai choisi cette annéed'essayer de faire ce que j'espère vous amener à faire, àsavoir d'attraper le désir par la queue, si c'est par là,c'est-à-dire non pas par la première forme d'identificationdéfinie par Freud, qui n'est pas facile à manier, celle de<i>l'<b>Einverleibung</b></i>,celle de la consommation, de l'ennemi, de l'adversaire du père,si je suis parti de la seconde forme de l'identification, à savoirde cette fonction du trait unaire, c'est évidemment dans ce but; mais vous voyez où est le renversement, c'est que cette fonction,(je crois que c'est le meilleur terme que nous ayons à prendre parceque c'est le plus abstrait, c'est le plus souple, c'est le plus àproprement parler signifiant, c'est simplement un grand F), si la fonctionque nous donnons à l'Un n'est plus celle de <i>l'<b>Einheit</b></i> mais <i>l'<b>Einzigkeit</b></i>, c'est que nous sommes passés -ce qu' il conviendrait quand même que nous l'oublions pas, qui estla nouveauté de l'analyse - des vertus de la norme aux vertus del'exception. Chose que vous avez retenue quand même un petit peuet pour cause : la tension de la pensée, qui s'en arrange en disant:"l'exception confirme la règle". Comme beaucoup de conneries, c'estune connerie profonde. Il suffit simplement de savoir la décortiquer.N'aurais-je fait que de reprendre cette connerie tout à fait lumineusecomme un de ces petits phares qu'on voit au sommet des voitures de la policeque ce serait déjà un petit gain sur le plan de la logique.<a></a><a></a></fontcenter>
<p><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Oui, c'est pas tout à fait ce
que j'avais prévu, enfin, de vous raconter aujourd'hui, mais puisqu'après
tout j'avais envie de... d'improviser, je me suis laissé entraîner,
comme ça, à vous dire d'autres choses, ça a une suite,
bien sûr, ça aura une suite la prochaine fois, je voudrais
tout de même vous faire remarquer qu'il y a des points dans <i>Les
Premiers Analytiques</i>, par exemple, entre autres - il y en a d'autres,
il y a des points de la logique, il y a des points de <i>l’Organon</i>,
où nous voyons tout d'un coup qu'Aristote lui-même, qui savait
rudement bien ce qu'il faisait, n'est pas sans achopper. Je veux dire sans
laisser sortir ce qui, en fin de compte, le tracasse comme tout le monde.</font>
<br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Il y a une histoire par là,
il faudra que je vous retrouve ça, je vais vous le retrouver tout
de suite, au... au 68 a, page des manuscrits, toujours... Il y a quelque
chose d’inouï. Je remarque, je vous ai parlé tout à
l'heure de... du <i>tout a est beta</i>, <i>tout beta est gamma</i> et
de ce qui s'en déduit que <i>tout alpha est gamma</i>, il interroge,
en apparence, ce qu'il en résulte de ceci, d'inverser la conclusion,
à savoir par exemple de dire que <i>tout gamma est alpha</i>. Il
en montre les conséquences bouleversantes, à savoir que la
conclusion, il va falloir la mettre à une autre place, à
savoir à la place d'une majeure ou d'une mineure pour que ça
aboutisse à proprement parler à une conclusion qui est celle
qui inverse une des prémisses. Bon. Tout ça n'a l'air de
rien, tout ça n'a l'air de rien et ça n'est certainement
pourtant pas rien, parce que c'est à cette occasion que commence
à sortir quelque chose d'autre, à savoir les qualifications
qui s'appliquent à toute espèce d'être.</font>
<br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Il faut vous dire que je vous ai épargné
ceci, c'est à quel point, c'est à quel point l'usage du terme
<font face="Symbol">uparkein</font>
"appartenir à", fait problème. Parce que dans sa définition
de l'Universelle, il est tout à fait hors de question de donner
un sens univoque à cet "appartenir à". Il est impossible
de savoir d'une façon univoque si le sujet appartient au prédicat
ou si le prédicat appartient au sujet. C'est selon les passages.
Il ne se peut pas, bien sûr, que quelqu'un d'aussi vigilant que devait
être Aristote ne s'en soit pas aperçu.</font>
<br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Quoiqu'il en soit dans ce chapitre,
ce tout petit chapitre qui est bien instructif, on voit par progression,
et par cette progression qui consiste à ce que, d'êtres universels
bien définis, il passe à tous les êtres, il est très
singulier que ce soit à propos de ça, que sorte, que sorte
mais comme une irruption, le passage suivant :</font>
<br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; <i>Si donc</i> - textuel ! - <i>tout
amant, en vertu de son amour, préfère... en vertu de son
amour, préfère... A</i>, c'est pas "préférer
à", hein, c'est <font face="Symbol">A</font>, le "A" écrit
:&nbsp; <i>savoir que l'aimé soit disposé à lui accorder
ses faveurs</i>, ça se dit <font face="Symbol">suneinai</font>,
aller ensemble, <i>sans toutefois les lui accorder</i>, sans toutefois
les lui accorder, (<i>ce que nous figurons par <b><font face="Symbol">G
</font></b>gamma</i>),
c'est donc <font face="Symbol">no</font>-<font face="Symbol">suneinai</font>,
pour appeler ça par leur nom, il ne couche pas avec lui, <i>plutôt
que de voir l'aimé lui accorder ses faveurs</i>, <i>(ce qui est
figuré par <font face="Symbol">D<b> </b></font>delta</i>.) C'est
merveilleux. Donc, <font face="Symbol">D</font> delta, hein, c'est ce que
nous avions dit, ça ? le... comment... beta ? ah ! oui !</font>
<br><font size="-1"><i>&nbsp;&nbsp;&nbsp; </i>C'est donc d'abord de ne pas
les lui accorder, plutôt que de voir...<i> </i>etc. Bon. Bon, alors
il est évident que <font face="Arial,Helvetica">A </font>alpha,
c'est-à-dire d'être disposé, ce qui passe pour Aristote
pour l'aimer, n'est-ce pas, il est évident que l'objet de l'amour
A, c'est être aimé, être disposé à lui
accorder ses faveurs, c'est ce que, dans Aristote, et c'est parfaitement
désigné dans ce texte, je vous prie de vous y reporter, se
dit&nbsp; <font face="Symbol">fileistai.
</font>Bon, aimer, c'est donc
<font face="Symbol">filein.</font></font>
<br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Il s'agit pour lui de démontrer
ceci : après ce passage concernant toute la conversion, et tout
à fait spécialement la correction, la conversion des prédicats
qui concernent tout être, il s'agit que si on part de ceci, n'est-ce
pas, que la conjonction de cet A avec ce B, c'est-à-dire être
aimé par le partenaire, partenaire qui ne vous accorde pas ses faveurs,
si on pose que ceci est préférable à la combinaison
contraire, n'est-ce pas, à savoir qu'il vous accorde ses faveurs
sans vous aimer pour autant, il démontre que, si on pose ceci, c'est
l'objet de sa démonstration, il en résulte que la fin de
l'amour, A, c'est quelque chose, si on la pose ici, n'est-ce pas, il en
résulte, ce qui semble en effet inévitable à admettre,
que <font face="Symbol">suneinai </font>vaut moins que <font face="Symbol">carizestai
</font>à
savoir cette bonne disposition qui témoigne d'être aimé.</font>
</p><center>
<p><img src="ndup7d.jpg" alt="nondupes7 d" height="181" width="177"></p></center>
<p><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Le surgissement, à cet endroit,
et d'une façon qui est d'autant plus problématique qu'elle
est absolument caractéristique de l'amour en tant qu'homosexuel,
est une chose tout à fait frappante, concernant, si je puis dire,
l'éruption au milieu de ce que j'ai défini comme étant
ici articulé comme la science du Réel, comme l'éruption
en un certain point, un point qui, je vous le répète, est
au 68b auquel je vous prie de vous reporter dans <i>Les Premiers Analytiques</i>,
une chose qui est vraiment l'irruption du vrai, et d'un vrai qui est justement
un vrai dont il n'y a, en fin de compte, que l'approche, puisque le problème
dont il s'agit est justement celui d'un amour qui, en fin de compte, ne
concerne que par l'intermédiaire de la jouissance, du <font face="Symbol">suneinai</font>
dont il s'agit, à savoir d'une jouissance, enfin, parfaitement localisée
et homologue, homogène, enfin, celle qui fait qu'en fin de compte,
s'il y a en effet quelque chose que permet la non-existence du rapport
sexuel comme tel, c'est très précisément que l'<font face="Symbol">omoioz</font>
en est assurément quelque chose comme, comme un pas, sans doute,
mais un pas, en quelque sorte, qui confirme, qui appuie la non-existence
du rapport.</font>
</p><p><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Et ce sur quoi je voudrais conclure
est ceci, n'est-ce pas, que pour autant, pour autant que c'est autour de
cet x qui s'appelle le phallus que continue à tourner, à
tourner que parce que c'en est à la fois la cause et le masque,
la non-existence du rapport sexuel, j'annonce, j'annonce si je puis dire
le thème de mon prochain séminaire, n'est-ce pas !</font>
<br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Pour ce qui en est de l'homme et d'abord
quand je dis L'homme, je l'écris avec un grand L, n'est-ce pas,
à savoir qu'il y a un tout-homme, pour L'homme, l'amour, j'entends
ce qui s'accroche, ce qui se situe dans la catégorie de l'Imaginaire,
pour l'homme, l'amour ça va sans dire.</font>
<br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; L'amour ça va sans dire parce
qu'il lui suffit de sa jouissance, et c'est d'ailleurs très exactement
pour ça qu'il n'y comprend rien.</font>
<br><font size="-1">&nbsp;&nbsp;&nbsp; Mais pour une femme, il faut prendre
les choses par un autre biais, n'est-ce pas. Si pour l'homme ça
va sans dire parce que la jouissance couvre tout, et y compris que justement
il n'y a pas de problème concernant ce qu’il en est de l’amour,
la jouissance de la femme, et c'est là-dessus que je terminerai
aujourd'hui, la jouissance de la femme, elle, ne va pas sans dire, c'est-à-dire
sans le dire de la vérité.<a></a><a></a></font>
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